Emménagement étrange [Pv Tornade]

Invité

Il était tard et le temps s'était gâter depuis cet après-midi. De toute façon, Stanley n'a jamais fait confiance à la météo... Toujours a prévoir un beau temps et voilà qu'il tombait des cordes!

Il courut, la veste au-dessus de la tête et les chaussettes mouillées, pour trouver la rue de son nouveau logement qui était inscrit sur un morceau de papier humide et chiffonner. L'encre bavait un peu mais, on pouvait encore voir les lettres imprimer sur le bout de carton...

Citation :

109,rue du 7e Art, Appartement 505 (5e étage)

Il arriva devant une immense structure aux allures modernes qui n'avait rien à voir avec ce qu'il a pu rencontrer jusqu'à présent.

Il vérifia trois fois l'adresse avant de sortir les clés qu'on lui avait confiées et d'ouvrir la porte qui donnait accès à l'immeuble. Il arriva dans un grand hall décorait d'une plante verte et d'un aquarium assez imposant.

Il avança vers l'ascenseur et appuya sur le 5. Il arriva dans un couloir où l'on pouvait apercevoir trois portes sur chaque côté. Les murs étaient tapissés d'un papier crépu blanc et un parquet du même coloris.

Stanley avança doucement à travers le corridor et chercha la porte au matricule "505"

*Trouver!*

Il enfonça naturellement son autre clé dans la serrure et se souvint alors que les personnes qui lui avaient vendu l'appartement lui avait dit qu'il aurait un colocataire déjà installé depuis un petit bout de temps.
Sur cette pensée, il hésita un instant à ouvrir la porte mais, se décida finalement à entrer.

Il traversa le seuil du T3 et découvrit alors un appartement très charmant. Il y avait déjà une télévision posée sur une table basse, branché sur un lecteur DvD. Devant celle-ci, se trouvait un grand fauteuil couleur crème et de très belles décorations "high-tech". Tout cela contrastait avec les innombrables plantes éparpillaient un peu partout. Même sur le petit balcon était accroché des fleurs colorés pleine de vie.

Ipkiss fit le tour des chambres pendant que Milo chercha la cuisine. Il remarqua alors qu'une des chambres étaient déjà installées... Bien entendu la plus grande... L'autre était toute poussiéreuse et n'était même pas meublé... Si ce n'est une armoire de bois dont l'une des portes était muni d'un miroir et un lit sans drap.

Il n'y avait bien entendu personne... L'homme s'affala sur le canapé, tourna la tête vers la fenêtre et aperçut la lune dans toute sa splendeur. Il commençait à se faire tard. Stanley envoya un regard furtif sur sa montre qui indiquait 23h12... Où était cette personne avec qui il devait cohabité?

Il se leva pour aller farfouillé dans ses affaires afin de regarder un dessin animé qu'il aimait tant. Il n'avait pas sommeil et au moins, s'il devait s'endormir, se serait sur le fauteuil.

C'est alors qu'il tomba -par hasard?- sur son vieux masque. Il alla donc se rassoir tout en admirant les reflets changeant au dos de l'objet.

Il avait encore ce désir récurant de porter le masque et de devenir quelqu'un d'autre...rien que cette nuit.

Le chien, sentant ce pouvoir, commença à aboyer mais, son maître ne l'entendit même pas.

Il approcha doucement le masque de son visage mais, une partie de lui qui refusait de se laisser attendrir par la magie de l'artefact mais, en vain.
Soudain, il entendit le craquement de la serrure et un grincement notoire... c'était la porte qui s'ouvrait derrière.

Il regarda alors d'un geste brusque sur le côté et dans un affolement suspect, il courra vers sa valise pour y ranger son masque et se retourner vers la personne qui entrait -surement son colocataire- esquissant un sourire gêné, voir hypocrite.

Invité

Ororo après avoir fait une drôle de rencontre en allant se promener dans les alentours du fleuve, décida de rentrer lentement mais surement dans sa nouvelle demeure.
Elle avait pris connaissance au par avant qu'elle vivrait avec un colocataire mais, cela faisait plusieurs jours qu'elle s'était installée et elle n'avait toujours pas eu "d'invité surprise."

Elle avait fini par penser que peut-être, elle vivrait seul et commençais déjà a se demander comment est-ce qu'elle allait aménager la chambre encore vide et poussiéreuse qu'elle avait laisser intact.
Après de nombreux pas réalisés tout en pensant a ces choses la, Ororo finis enfin par arriver au rez de chaussé de son nouvel habitat.

Elle s'empressa de prendre l'ascenseur et fouilla activement dans son sac à la recherche aveugle de ses clefs. Lorsque le léger bruit que l'ascenseur avait fait retentir pour faire comprendre que l'unique passagère été arrivée a destination eu lieue, Celle-ci avait déjà ses clefs en mains et sorti rapidement de ce procédé de technologie.

Ororo put sentir une drôle d'atmosphère dans ce couloir qui avait pourtant l'habitude d'être morose.
La jeune femme avança jusqu'à tomber nez-a-nez devant la fameuse porte numéro "505" et tendit alors le bras vers la serrure. Elle y inséra la clef et ouvrit joyeusement la porte.

*Mais qu'est-ce-que...*

Ororo du cligner des paupières plusieurs fois pour être sur de réaliser que ce qu'elle voyait devant elle était bien réel.
Lorsqu' Ororo avait lancé un premier regard elle pu rapidement apercevoir que l'homme qui lui souriait a présent était bien agité avant son entrée.
Le sourire qu'il présentait était assez spécial à vrai dire et il attira très vite l'attention de la jeune femme. Elle lui en rendit un en retour tout en se présentant:

" Bonjour, je suppose que vous êtes mon colocataire. Je m'appelle Ororo Munroe et je suis celle avec qui vous allez vivre comme vous avez surement du le devinez."

Après ces quelques mots Ororo déposa son sac sur une table jolie table noir placer a quelques mètres de la ou elle se situer. Elle enleva aussi sa veste et l'accrocha a un porte manteau.

" Je commençais a croire que je n'aurais pas de colocataire, a vrai dire sa fait longtemps que je vous attend"

Ororo ce mit légèrement a rire et demanda enfin a son interlocuteur qui est ce qu'il étais ?

Invité

Lorsque la porte s'ouvrit pour laisser entrer une belle jeune femme au teint doré, la surprise fut générale. Stanley la regarda attentivement pendant que la colocataire dévisageait le jeune homme. Elle était mince et élancer, avec un magnifique visage. Les cheveux argentés choquèrent Ipkiss... Mais, ça lui allait très bien. Surtout que la coloration était bien faite dans l'ensemble.

La femme offrit alors un charmant sourire en guise de cadeaux de bienvenue avant de se présenter.

" Bonjour, je suppose que vous êtes mon colocataire. Je m'appelle Ororo Munroe et je suis celle avec qui vous allez vivre comme vous avez surement du le devinez."

Stanley s'avança vers elle et lui tendit la main

"-Heu... Oui! Je suis Stanley Ipkiss... Enchanté!"

Elle posa machinalement son sac sur une table couleur jais et enleva aussi naturellement son manteaux étrangement sec.

Elle avait déjà ses habitudes et on voyait bien que ça faisait longtemps qu'elle habitait dans le coin.

Ce qu'elle confirma rapidement

" -Je commençais a croire que je n'aurais pas de colocataire, a vrai dire ça fait longtemps que je vous attend"

Elle l'attendait? Bien sûr! Ce qui explique pourquoi la seconde chambre n'était pas installé...
"-Pardonnez-moi d'avoir été si long... C'est que tous ces papiers à remplir... C'est du boulot"
Il rit quelques secondes.
"Ça fait longtemps que vous vivez ici? Vous devez connaitre un peu les alentours, non?"

Il se décala alors de quelques mètres afin de laisser Ororo entré dans l'appartement.
Milo, qui était resté caché, sorti d'entre les coussins du fauteuil et commença à aboyer joyeusement... sa façon de dire "bonjour" sans doute...
"Heu... J'espère que vous n'êtes pas allergiques aux poins de chiens? Il n'est pas très bruyant le matin vous verrez... Et il est très affectueux!"
De toute façon, même si elle l'était, il ne l'aurait pas quitté...!

Invité

Ororo avait complètement zappé de serré la main de son interlocuteur, elle n'avait pas fait attention.
Lors qu'elle appris que cette homme s'appelait stanley elle eu un léger sourire de nostalgie qu'elle n'arrivait elle même pas a expliquer. Elle s'imaginer dors-et-déjà l'appeler "stan" diminutif qu'elle trouvait assez génial en fait.

"-Pardonnez-moi d'avoir été si long... C'est que tous ces papiers à remplir... C'est du boulot"

A mais oui! Ces fameux papiers qui partent dans tous les sens et qui sont tous plus longs a remplir les uns que les autres! Voila pourquoi ce fut si long.

"Ça fait longtemps que vous vivez ici? Vous devez connaitre un peu les alentours, non?"

Ororo remarqua que Stanley s'était décalé afin de lui permettre de mieux accéder a l'appartement et lui fit un jolie sourire accompagné d'un "merci".

"En réalité ca ne fait pas très très longtemps mais bon assez pour que je fasse quelques rencontres par-ci par la. Ça doit faire dans les environs de..."

Soudain, elle fut interrompu par une petite boule de poil qui j'allais d'entre les cousins de son fauteuil.
Âpres un regard étonné elle pris la petite bête entre ses mains et l'admira joyeusement avec un large sourire. Puis elle reposa sur le canapé avant de lui caresser le dessus de la tête. Elle ce retourna a nouveau vers Stanley.

" Ooh.. qu'est ce qu'il beau. C'est votre chien je suppose? Il a vraiment l'ari en forme, vous devez être un bon maitre!
Vous inquiétez pas pour les poils de chiens, je suis loin de les vénérés mais mon derniers aspirateurs du nom de... je ne sais quoi X s'occupera des "fuites poilues"

Ororo se mit alors a rire avec Stanley avant de lui demander qu'est ce qu'il faisait dans la vie ?

Invité

Tiens! Elle aimait les animaux? Un bon point dans leurs relations de cohabitation... En plus les poils ne la gênait pas tant que ça. Bien sûr, les Jacks Russels étaient des chiens à poils ras et de ce fait, n'en perdent pas énormément comparé aux chats ou aux plus gros chiens comme les bergers allemands mais, le fait qu'elle aime déjà Milo était bon signe... Il n'aurait pas à avoir peur de le voir noyer dans la baignoire s'il devait le laisser dans l'appartement...

Il eut un petit sourire mélancolique et fut un peu gêner lorsqu'elle dit que Stan était un "bon maître"... En réalité, il se demandait si ce n'était pas plutôt Milo qui était un bon chien! Quand il y repensait... l'animal l'avait sauvé plus d'une fois, lui à permit de porter secours à Tina et l'a même aidé à sortir de prison. Sans lui, le masque aurait été aux mains de Dorian qui aurait profité de son pouvoir pour détruire Edge City ou prendre le contrôle de la ville... Et Stanley serait en train de moisir en prison!... Mais par flemme, il ne répondit que d'un aimable "merci"...

Ororo demanda ensuite à Stanley quel était son métier... Que dire? Qu'il était en ce moment au chômage?...
" Euh... En fait j'ai été employé de banque avant de venir ici!" *Ce n'est pas très précis tout ça...* "Pour l'instant je suis au chômage..." puis il reprit rapidement "Mais ne vous inquiétez pas! Je cherche un emploi et serais à même de payer le loyer dès que je toucherais mon salaires!"

Stanley et les loyers... une longue histoire d'amour! Déjà à Edge City, lorsqu'il travaillait, il se trouvait toujours en retard sur ses factures... Et ce n'était pas du genre de son ancienne propriétaire -Mme Bonpoil pour ne pas cité...- d'oublier les malheureux centaines de dollars à la bourrent... Mais pour en revenir au présent, Stanley avait peur de faire peur sa nouvelle colocataire -Ironique, n'est-ce pas?- qui penserait alors que Stanley n'était qu'un fainéant de première! Ce qui serait dommage puisque c'était la vérité...

Il regarda furtivement vers les chambres et fit un geste rapide en directions de celles-ci.

"Heu... Je peux déposer mes affaires?"

Bien sûr, il n'allait pas dormir dans ce lit à moitiés rongé par les mites... s'il y en avaient! Les draps étaient poussiéreux, couvert de plâtres et le bois grinçait au moindre mouvement...

"Excusez-moi... Je pourrais dormir cette nuit sur le canapé? En réalité, je ne suis venus qu'avec le strict nécessaire. J'achèterais un lit convenable demains pour évité de vous ennuyez."

Il sortit alors une liasse de billet -Il avait quand même pris ses dispositions et garda quelques dollars de sa banque quand il l'avait attaqué sous l'emprise du mask "Je n'ai que $100 sur moi... Je pense que ça devrait suffire pour acheter un matelas plus ou moins confortable?"