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"Kyaaaaa !"

Cri de rage ? Cri de désespoir ? Cri de douleur ? Les trois mon adjudant ! C'était la troisième fois que le fond du carton bourré de livres qu'elle transportait cédait (la rage), éparpillant allègrement son contenu sur le sol (le désespoir) et dans les jambes d'Elizabeth (la douleur) !
Mais quelle idée elle avait eue là de déménager ! Elle était bien, dans son p'tit appartement de l'immeuble d'en face ! Bon, d'accord, sa colocataire ne supportait plus de l'entendre parler de piraterie, ni des Caraïbes, et encore moins de James, de Jack ou de Will. Alors bon... Pour cette nouvelle année, elle avait choisi de partir avant que l'autre ne l'écharpe.
Elizabeth entreprit donc de ramasser tant bien que mal les livres qui jonchaient à présent le sol et de les empiler dans le carton renversé (le dessus semblait mieux tenir que le dessous). Et bien sûr, quelqu'un passa auprès d'elle et s'engouffra dans l'ascenseur. Elizabeth se redressa d'une détente.

"Hey ! S'il-vous-plaît, retenez l'asc..."

Ding !

"...censeur."

Trop tard. Magnifique. De toutes façons, avec tout ce qui lui restait encore à ramasser, elle l'aurait fait attendre un moment. Bien. Retour à l'opération glanage. Quand enfin elle en eut fini (du moins l'espérait-elle), elle chargea de nouveau le tout sur son bras et réussit à atteindre l'ascenseur sans tout faire tomber une quatrième fois. Calant le carton contre sa hanche, elle appuya sur le bouton et s'engouffra dans l'ascenseur dès qu'il arriva...

Spoiler:

"Attendez!!!!!! Par pitié attendez."

(le pauvre si il savait ce qu'il l'attendait). James, chargé comme un mûlet, se dépècha tant bien que mal. Il venait de quitter sa ruelle pour emménager dans cet immeuble, l'appartement 404 pour être plus précis. Il avait avec lui qu'un simple carton rien de plus. Ce carton contenait bien entendu des vètement mais aussi, et c'est assez insolite, des bouteille d'alcool. En moyenne il y avait plus d bouteille que de vètements, en effet il avait depuis un certain temps l'habitude de se saouler lorsqu'il pensait à son ex-femme : Miss Elisabeth Swan. ( Le pauvre!! La surprise de sa vie qu'il va avoir!!! ). Il se mit à courir avec le carton dans les mains et manqua de s'étaller de tout son long et fit une glissade jusqu'à l'asseceur. Il sourit de soulagement mais il déchanta très vite en reconnaissant...

*Oh non!!!! Et c'est qui? qui va déprimé après? Encore...*

"Ah... Euh! Bien le bonjour Miss Swan. Euh... Vous emménagez aussi?"

Il devint rouge pivoine et bafouillat des mots incompréhensible.

*Allez Jamy reprend toi ce n'est qu'Eli après tout. C'est seuleument ton ex-fiancée[/color].*

A cette pensée sa main se dirigea instinctivement vers une des bouteilles.

*Non ! Il faut résister, allez ce n'est pas la mère à boire quand même? En plus elle ne se trouve surement pas au même étage que toi? Ce n'est pas possible de toute façon le sort ne peut pas s'acharner comme ça? Se serait hinumain[/color].*

"Je prend mes appartements au 404 et vous?"

*Pourvu qu'elle ne réponde pas un appart du même étage que moi. ô Dieu miséricorde Dieu faite qu'elle soit à un autre étage que moi, s'il vous plait? Veux plus être déprimé moi.*

Il se mit à sourire tant bien que mal mais cela ressemblait plus à un mauvais rictus qu'à un sourire.

La jeune femme n'avait pas vu qu'elle était suivie et n'avait donc pas eu le réflexe de retenir la porte de l'ascenseur. Elle s'écarta pour laisser de la place à l'homme.

"Excusez-moi."

Elle n'avait pas eu le temps d'appuyer sur le bouton et s'apprêtait à demander à son compagnon forcé de le faire pour elle, quand un troisième arrivant fit irruption. Chargé comme un baudet, peu soigné de sa personne et trimballant un carton ouvert d'où dépassaient un morceau de tissu bleu et le goulot d'une bouteille. Elizabeth fronça le nez. Décidément, l'immeuble ne devait pas être si bien que...

"James ?!?"

**Oh Madone...**

Elizabeth piqua un fard. James Norrington. Son ancien fiancé. Et, malheureusement, une épave, depuis quelques années. Elle suivit des yeux la main qui allait ploger dans le carton et releva les yeux pour chercher à croiser le regard de James.

**Non, James, non... Prouvez-moi que vous en êtes capable...**

Elle finit par répondre :

"Oui, je... j'emménage aussi. Appartement quatre cent tr..."

Elle s'interrompit, prenant soudain conscience de ce qu'elle disait. Non seulement ils logeaient au même étage, mais en plus en face l'un de l'autre.

"Enfin, au quatrième étage."

Elle revérifia la bonne tenue de son carton et tendit le bras pour appuyer sur le bouton correspondant. Elle était bien consciente que leur - court - dialogue devait pour le moins ennuyer l'homme qui se retrouvait coincé avec eux. Il valait mieux que la torture s'achevât le plus vite possible.

( quand je vous dis qu'il en prendrait pour son grade )

James eu le soufle coupé lorsqu'il entendit quatre cent puis le début d'un... TROIS!!!! et quatrième étage??

*aaaah!!!!!!! Dieu que tu es cruel!!!! Pourquoi moi!!!!*

Mais aussi par le manque de tacte de cet homme qui se trouve à se moment précis dans l'assenceur ( Sa y est c'est partit! ).

*James respire ce n'est pas grave... ce n'est pas grave. NON MAIS DE QUOI IL SE MELLE CELUI LA!!!!!!*

En essayant de garder son calme il se tourna vers ce personnage assez impolit.

"Excusez-moi mais cela ne vous regarde en aucune manière. Je pense encore que je faire ce que je veux? Et si cela ne vous convient guère sachez que vous pouvez sortir de cet espace et prendre le prochain ascenseur!"

*Et voila j'en ai par dessus la tête de ces personnes qui croient tout savoir sur les autres rien qu'en les regardant.*

James ressera sa prise sur son carton de bouteille et accessoirement de vêtements. Il repris son calme lorsque l'homme lui parla de discrétion et de prendre l'escalier, LUI! Alors qu'il vient de monter dans un endroit où il peut parler à sa raison de vivre sans voir débarouler ce Turneur et Sparrow. Rien que d'y penser il sens comme une envie d meurtre monter en lui. ( Et voila merci Greg tu me l'a énervé ).

*RAAAAAH WILL SI JE TE RETROUVE....*

"Monsieur sachez que vous aussi pourriez prendre l'escalier et si on vous importune tant que ça vous n'aviez qu'à sortir et attendre que le prochenne assenceur ne redescende pour vous transporter. Non mais quel toupet celui là."

Spoiler:

Si elle n'avait eu les deux mains occupées, sans doute Elizabeth aurait-elle giflé James pour le calmer. Elle se contenta de prendre une grande inspiration et de lâcher :

"Merci pour cette intervention, James, mais on s'en serait passés."

Elle avait retrouvé une couleur plus normale. Elle avait plus ou moins l'habitude de ce genre de situations, à force d'à force... Elle se tourna vers l'autre homme et ajouta :

"Je sais que vous n'en avez strictement rien à faire de nous. C'est plus que visible, pas besoin d'être Sherlock Holmes pour le deviner. Inutile donc de retourner le couteau dans la plaie, je m'en chargerai très bien toute seule.
Cela étant posé, vous savez ce qu'on dit : le plus gêné s'en va..."

Elle haussa les épaules. Elle n'était pas là pour chercher la bagarre, elle voulait juste acheminer son dernier carton dans son appartement tranquillement. Visiblement, c'était trop demander. Entre "l'infirme", comme il se définissait lui-même, dont l'attitude commençait à lui échauffer les oreilles, et James qui, d'après ce qu'elle entendait, était déjà dans un état d'ébriété avancé... Et si c'était elle qui quittait l'ascenseur, en fait ?

Spoiler:

Spoiler:

Greg eut un petit sourire digne de celui qu'aurait pu faire un comateux anémique qui atteindrait soudain la petite lumière du bout du tunnel. L'homme qui était là, ivre mort, était on ne peut plus amusant. Certaines de ses attitudes lui faisaient un peu penser à James... enfin, pas le James de l'ascenseur, mais James Wilson, son meilleur ami.

"Au cas où vous n'auriez pas remarqué, James, je suis déjà dans l'ascenseur... quant aux escaliers, c'est un peu compromis pour moi..." il s'appuya sur sa canne et haussa les épaules "et si vous n'aviez pas débarqué dans cet espace de confinement, j'aurais très certainement passé un meilleur moment ici. Parce qu'entre vos trois grammes dans le sang et vos vapeurs colériques..."

Puis la jeune femme intervint à son tour. House la regarda d'un oeil insolent.

"Le plus gêné s'en va? Quelle horreur... je trouve que c'est plutôt au plus gênant de s'en aller..." et là, le médecin fit ce qu'il adorait faire pour gagner du temps ou pour embêter un peu son monde : il fit mine d'avoir une faiblesse dans la jambe droite et de se rattraper de justesse en s'appuyant sur le panneau avec les boutons de l'ascenseur... ce qui eut pour effet de bloquer la machine entre deux étages. Il prit alors l'air navré qui lui semblait être le plus crédible et plongea la main dans sa poche pour prendre sa vicodine.

"Je suis... désolé..."

A présent, il feignait la douleur à tel point qu'il était certain d'éclater de rire quand il regagnerait son appartement. En attendant, hop, deux cachets filèrent dans sa gorge et la boite regagna la poche du diagnosticien.

James tenta de garder son calme losque l'homme osa repondre à sa douce et au fait qu'il l'appèle par son prénom.

"Pour votre gouverne ce sera Mr Norrington ou Comodore mais pas James ou alors présentez-vous au moins que l'on puisse savoir qui est ce fouteur de trouble? t je fais ce que bon me semble sans tenir compte de votre petite personne."

*Mais qui m'a foutu un mec pareil dans cet ascenseur ?*

Mais lorsqu'il bloqua l'ascenseur ce dernier ne put contenir son désarroi. Notre comodor ce pris l'arrête du nez et ne put se retenir.

"En plus d'être un accros aux médicaments vous ètes en plus un vrai boulet pour les relations avec autruit. Et nous voila coincé avec vous. Mais c'est pas vrai."

Il leva les yeux au ciel et pria dieux pour que tout cela se termine.

Spoiler:

Elizabeth pensait de plus en plus à appuyer sur le bouton du deuxième étage pour sortir et les laisser tous les deux, quand le problème fut "règlé" : le médecin venait de bloquer l'ascenseur.

"Désolé ? Mais bien sûr ! Et la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'alu !"

Elle eut un geste pour inviter James au calme, déposa son carton dans un coin de l'ascenseur, juste derrière elle, et s'assit posément dessus. De toutes façons, après les trois gamelles qu'ils s'étaient pris, ce n'était pas ça qui allait faire une différence pour les bouquins qui se trouvaient à l'intérieur. Croisant les jambes et coiffant le genou supérieur de ses mains croisées, elle se cala le dos contre la paroi et remarqua :

"J'espère que vous savez remettre cette machine en route, vu que le concierge est absent pour deux jours et connaissant les lenteurs des services techniques... Sinon, l'attente risque d'être longue."

Elle eut un sourire en coin en ajoutant :

"Pour quelqu'un qui, il y a encore quelques instants, se plaignait de nous avoir sur le dos, je trouve votre attitude bien contradictoire..."

Spoiler:

La panne d’ascenseur provoquée par Greg provoquait elle-même des symptômes auprès des gens présents dans ledit ascenseur. Passionnant. D’abord, il y avait ce James qui faisait une petite crise d’égotisme…

"Commodore ? Berk ! C’est un mot encore plus laid que les noms de maladies sexuellement transmissibles!"

Et s’il l’appelait "Herpès", juste comme ça, pour le fun, mmh ? Mais ce ne serait pas très respectueux pour la demoiselle qui était là aussi.

"Je suis le docteur House. Mais ne m’appelez surtout pas, Commodore Norrington, je n’ai pas l’habitude de prendre n’importe quel patient en charge. Et comme je suis un boulet accro, je suis sûr que je n’aurais pas à charcuter votre petite personne pour trouver une cirrhose et une inflammation du testicule droit…" puis, plus bas, vers l’homme : "si vous ne consultez pas, il va finir par vous empêcher de vous asseoir, ce petit chou…"

Et voilà, les présentations étaient faites. Tout était bien qui finissait bien. Enfin, non, la jeune femme était moins bête que l’autre. Cela se voyait tout de suite. Mais cette histoire de marmotte…

"Je vous demande pardon ?
C’est marrant, les idiots, je comprends que tous les villages en veuillent un… Mais je vous en prie, avec un idiot dans l’ascenseur, il y a bien assez, ne vous lancez pas là-dedans."

Elle s’assit sur son carton et Greg eut l’air étonné devant ses paroles.

"Quoi ? Vous doutez de ma bonne foi ET de mes capacités ?"

James eu du mal à retenir le flots d'injures qu'il aurait pû dire à cette antipatique de première classe. Pour toute reponse il se prit la tête dans les mains.

*Mais c'est qu'il m'agace celui là. Vais le tuer!!! Si, si j'vous jure que j'vais l'buter suilà*

Il serra les point et se mordit les joues pour se contenir.

"Cher monsieur, auriez vous la délicatesse de nous renseigner sur vos potentiallté de remettre ce truc en place, si cela vous plait."

*Et paf!!! Tient un peu de politesse et de savor vivre pour monsieur l'acariatre.*

Il avait dit cette phrase avec un calme et une gentillesse olympien. Se fut un exploit quand on sait que l'homme à qil parlait venait de le traiter de moins que rien et salit son honneur à grand renfort d'insulte sur son rang.

Elizabeth adressa un sourire à James pour le féléciter de s'être repris, et répondit calmement au médecin :

"De vos capacités, je ne me permettrais pas d'en douter. De votre bonne foi, je fais plus que de douter : je n'y crois pas une seule seconde. Votre air innocent est aussi faux qu'une jambe de bois."

Elle décroisa les jambes et s'assit en tailleur sur le carton pour attendre plus à son aise que la situation se décante. Elle avait décidé de prendre son mal en patience. Au pire, elle avait toujours la possibilité de jouer les singes et de sortir par la trappe du plafond puis par l'échelle de secours. Elle avait son temps. Pour un peu, elle aurait tiré un bouquin de la caisse. Mais bon. Pas la peine de passer pour plus bêcheuse qu'elle ne l'était.

"Bien. Et maintenant ? On fait quoi ?"

Spoiler:

Notre comodor favoris fut soulagé lorsque notre lascar bien aimé remit l'ascenseur en route. Il n'eu aucun regard et aucune parole pour cette homme lorsqu'il quitta l'ascenseur.

*Ouf enfin il se casse.*

Il sentit comme un poid partir avec cet homme pour le moins pas très amical. Mais tout de suite un autre vint le remplacer, plus lourd encor car il était seul, dans un espace de trois mètre carré, environ, avec celle qu'il avait toujours convoitée, aimée.

*Oups avait oublié ce petit détail.*

Il en arriva presqu'à souhaiter le retour de monsieur l'associal, juste pour ne pas croiser son regard aussi bleu qu'un lagon même si ils sont ternis par la piraterie. Enfin ce fut le moment de vérité allaient-ils sortir au même étage?

*Aller plus que quelques seconde et je serais fixé. Fixé sur mon sort.*

Mais quand même par respect pour sa douce il essaya d'entamer la discussion.

"Euh.. Pourrais-je savoir la raison pour laquelle vous emménagez dans le même immeuble que moi? Sans vous offenser bien sur. Et ce... Bon vieux Will - il déglutit avec moultes difficultés pour éviter d'ecorcher ces trois mots qui furent bénins un temps - comment va-t-il toujours immortel et ammenant les morts dans son royaume?"

Il se retourna tournant le dos craignant pour lui si la belle se couroussait. Et il se jura de tout noyer dans l'alcool par la suite.

Spoiler:

Elizabeth avait gardé le silence quand House était enfin sorti de l'ascenseur, mais n'avait pu s'empêcher de sourire en songeant à sa tête si James ou elle lui avait dit qu'ils venaient tout droit du 18ème siècle... Mais son sourire s'effaça quand elle réalisa que, pour quelques secondes encore, elle se trouvait seule avec James. Celui-ci lui adressa la parole, visiblement avec difficultés.

"Et bien, jusqu'à il y a quelques minutes, j'ignorais que vous veniez vous installer ici... J'entre en deuxième année à l'Ecole militaire, et ma précédente colocataire est partie. J'ai donc dû trouver une nouvelle colocataire et un nouvel appartement. Il y en avait un qui se libérait, alors j'ai sauté sur l'occasion."

Elle se releva, ramassa son carton. L'ascenseur arrivait à destination. Ils allaient descendre au même étage.

"Quant à Will... Je suppose qu'il va bien. Nous ne nous voyons pas souvent, et je n'ai guère de nouvelles de lui... Et quand nous nous voyons..."

Elle n'acheva pas, mais son regard s'était assombri. Elle regrettait le temps où elle était folle amoureuse de Will, où elle aurait donné sa vie pour lui. Maintenant... Ils n'avaient plus rien à se dire. Mais cela, elle ne pouvait décemment pas le dire à James, c'eût été retourner le couteau dans la plaie. Et elle ne le voulait pas, elle l'appréciait trop pour avoir envie de lui faire du mal. Elle se contenta de demander :

"Et vous ? Comment se fait-il que vous changiez de logement ?"

Il était fixé ils allaient bien au même étage. ( pas glop ) Lorsqu'il arrivèrent James pris son carton dans ses mains et se prépara à sortir. Il eu le tact de dire, quand même, un faible désoler.

"Bon alors moi si j'emménage c'est que je ne supporte plus la porcherie dans laquelle ces manant m'envoyaient tous les soirs. J'ai donc décidé de chercher un appart et le collocataire ma repondu oui sans même savoir qui j'était avant, j'ai donc sauté sur l'offre qui se montrait à moi."

L'assenceur s'arrêta enfin et les portes s'ouvrirent. Mais au lieu de se ruer dehors comme toutes personnes sensées auraients fait. Mais lui eu un dernier regard pour Eli.

"Euh, si je peux me permettre si un jour vous avez besoin n'hésité pas je suis au même étage."

Spoiler:

Elizabeth ramassa son carton et hocha la tête.

"Je comprends. C'est bien, que vous ayez pris cette décision. Je suis contente pour vous."

Elle vérifia que le fond n'allait pas céder une nouvelle fois et sortit juste derrière James. Elle hésita un court instant à continuer, le Commodore s'étant arrêté. Elle eut un sourire amical.

"Je n'hésiterai pas. Et j'espère que ce sera réciproque. Je suis juste... en face. Vous pouvez venir quand vous voulez."

Il y eut un court silence, un peu gêné, qu'Elizabeth finit par rompre.

"Bien... Je... Je dois y aller. Bon courage pour votre installation..."

Elle se détourna, tenant toujours tant bien que mal son carton, et se dirigea vers le quatre cent trois. Mais, juste avant d'y arriver, elle se retourna.

"Oh, James... Je suis contente de vous savoir vivant. J'ai été très malheureuse, quand je vous ai vu... enfin... Vous savez ce que je veux dire."

Elle rougit un peu, et lâcha :

"Vous m'avez manqué, James. Je suis heureuse de vous revoir."

Elle se détourna de nouveau et, avec un petit signe de la main, elle pénétra dans son appartement. Elle avait du travail pour finir de s'installer.