Un psy, quoi? (PV Hannibal)

Après plusieurs jours après sa transformation, les plaie de Remus, pour une fois, ne semblait pas vouloir guérir et cela l'inquiétait énormément. Il aurait volu aller à Ste-Mangouste, mais tout le monde le croit mort durant la Deuxième Guerre, alors il ne pouvait pas y retourner. De plus, il ne voulait pas utiliser sa magie pour guérir ses entailles. Il l'avait déjà fait et il n'avait pas aimé l'expérience. Alors, il ne lui restait qu'une seule chose à faire : aller dans un hôpital moldu. il ne savait pas comment cela fonctionnait c'était donc un bon moment pour lui de vérifier comment les moldus se faisaient soigné.

Avant de partir de sa minuscule boîte à chaussure, il prit une douche, mit des pansements sur ses plaies et s'habilla. Il essaya de prendre ses plus beaux habits, mais ils étaient tous défraichit. Il devait vraiment se trouve un emploi. C'était à peine s'il arrivait à payer son appartement minuscule. Heureusement qu'il avait sa baguette, car il ne pourrait plus manger non plus. Lorsqu'il fit prêt à partir, il resta un moment devant sa porte d'entrée à se demander ce qu'il s'apprêtait à faire. Devait-il y aller ou attendre. Il faillit rester, mais la douleur sur son visage lui faisait mal.

Une fois à l'extérieur, il venait de descendre les sept étages de l'immeuble, il prit une grande respiration, question de reprendre son souffle, et commença à se diriger vers le centre ville. Il ne savait pas vraiment où l'hôpital était, cela allait lui donner aussi la chance de visiter un peu sa nouvelle ville. Il y avait pleins d'immeuble différent, plusieurs parcs. Il vit même plusieurs familles faire les boutiques. Il aurait tellement aimé revoir sa petit famille. Il était près à tout pour être avec eux. C'était sa joie de vivre, même si maintenant ils étaient tous séparés. Il soupira longuement et continua sa marche.

Finalement, il trouva l'endroit où il voulait aller. Il était content, comme ça il pourrait se faire soigner. Il entra donc, mais avant de se rendre vers le comptoir, il observa les moldus autour de lui. Il y avait plein qui portait des capes à manches, d'autres portaient des habits de la même couleurs et d'autre était habillé normalement avec des vêtements moldus. Il ne savait vraiment pas ce qu'il devait faire. Une jeune femme s'approcha de lui et elle lui demanda si Lupin avait besoin d'aide. Il lui dit qu'il voulait voir un médecin, car il voulait faire examiner des plaies. Elle alla remplir un formulaire et dit à l'homme d'attendre.

Cela prit plusieurs avant qu'il entende : REMUS J.LUPIN SALLE 1. Alors, REmus se dirigea vers la salle un. Il y avait un homme, avec une barbare des plusieurs jour qui l'accueillit. Il l'invita à s'asseoir sur une table sur laquelle il y avait du papier et lui dit son nom, mais Lunard l'oublia rapidement, il n'avait jamais entendu ce nom. Ils parlèrent plusieurs minutes, Remus lui montra on visage, heureusement il lui dit qu'il s,était fait attaquer par un chien. Ce qui n,était pas tout à faire faux, pour ceux qui connaissait la maladie de Lupin. Le médecin vérifia ses plaies, les nettoya et lui donna un onguent à mettre dessus. Le loup-garou allait quitter le bureau quand le médecin lui dit d'aller en voir un autre. Il lui tendit une carte avec le numéro de bureau : Dr. Hannibal Lecter, psychiatre. Remus fronça les sourcils. Il ne savait pas pourquoi il lui avait donné ça et encore moins à quoi cela servait un psychiatre. Il lui souhaita bonne journée et se rendit là où la carte l'indiquait.

Arrivée à destination. Remus cogna à la porte et entendit que l'on lui ouvre ou que l'on lui fasse signe.

C

Psy… quoi ?

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Assis dans son bureau, Hannibal s’ennuyait profondément. Les cas qu’on lui envoyait étaient rarement des cas intéressants pour lui. La plupart du temps, il s’agissait de patients dépressifs et cela se passait rapidement, sans que rien ne vienne entacher la thérapie. Une fois le patient guéri, il fallait en trouver un autre, reprendre depuis le début et réussir à passer au-delà de ce que pouvait signifier pour lui la fin d’une thérapie.

Le docteur Lecter avait toujours aimé aller au fond des choses. Il avait toujours apprécié analyser les gens et, faut-il le dire, jouer avec eux… alors les moments où il n’avait pas de patient attitré le rendaient légèrement neurasthénique. De temps en temps, en tout cas.
En attendant, Lecter essayait de rendre service dans l’hôpital. Il faisait des consultations, il soignait des gens malades… il prenait soin de son image de marque, il se rendait important… et c’était un rythme de vie qu’il commençait sincèrement à apprécier pleinement.

Aujourd’hui, donc, il s’ennuyait dans son bureau. Il ne figurait pas sur la liste des médecins devant assurer des consultations. Il avait déjà lu trois chapitres d’une thèse de psychiatrie qu’on lui avait envoyé pour qu’il la lise… autrement dit, il avait dépassé la moitié de sa lecture et avait fini son cappuccino.

Lorsque les choses étaient aussi plates et moroses, généralement, le destin vous envoyait un signe. Il y a quelques années, c’était l’arrivée de Clarice Starling qui l’avait tiré de la morosité de sa cellule aux murs blancs et de sa vie sans intérêt entre quatre murs…
Aujourd’hui, ce fut le fait que quelqu’un frappe à la porte de son bureau qui sortit Hannibal de la torpeur qui menaçait de l’envahir… Le psychiatre se leva prestement de son fauteuil, trop heureux d’avoir une visite ici, et il se dirigea d’un pas presque enjoué vers la porte, qu’il ouvrit doucement.

"Entrez, je vous en prie…"

L’air affable, le visage ouvert, Lecter s’était penché légèrement pour signifier à l’homme présent devant sa porte qu’il était le bienvenu ici. Pour le moment, Hannibal se contentait de l’accueillir comme il se devait, avec cordialité, chaleur et un soupçon de professionalisme.

"Asseyez-vous, monsieur."

Lui-même retourna à son fauteuil après avoir indiqué le fauteuil d’en face à son invité. Il posa les coudes sur la surface du bureau et joignit les mains en entremêlant ses doigts devant son menton. Dans son regard bleu vif se lisait déjà de l’intérêt, ne fût-ce que parce que cet homme était là, dans son bureau, en face de lui.

"Je vous écoute… en quoi puis-je vous être utile ?"

Regardant attentivement son vis-à-vis, Lecter vit des cicatrices, des plaies récemment soignées et une peau quelque peu pâle. Cet homme-là avait la vie dure. A moins qu'il ne soit un combattant dans des clubs privés ou quelque chose du genre.

Hannibal Lecter mettait un point d’honneur à faire en sorte que la première impression soit positive. En réalité, cela lui plaisait d’être considéré comme un homme pouvant apporter des solutions. Tout comme cela lui plaisait énormément de se dire qu’il y avait toujours quelque psychose ou névrose légère en chaque être humain. Lui-même n’avait-il pas pour habitude de considérer les personnes qu’il jugeait être de mauvais goût comme de potentiels hors d’œuvre ?

[C]

Remus avait enfin cogné à la porte. Il ne savait même pas ce qu'il l'attendait. pourquoi l'autre médecin lui avait demandé de venir ici? Le sorcier l'ignorait. Il ne lui avait rien dit. Il lui avait expliqué qu'il s'était fait attaquer par une bête, ce qui n'était pas réellement faux, et avait demandé de vérifier les plaies sur son visage. Avait-il quelque chose de plus important derrière tout cela que le loup-garou n'avait rien remarqué d'autre. Il avait toujours été ainsi et personne dans le monde magique avait trouvé quoique se soit. Pour lui, il se trouvait normal. Certes, il avait perdu sa femme, ses meilleurs ami, son petit garçon Teddy et son univers. D'accord, cela ne laisse pas sans conséquence, mais au moins il savait ce qu'il se passait. Ce qu'il avait besoin c'était tout simplement du temps. Il devait passer au travers par lui-même.

Enfin, quelqu'un lui ouvrit la porte. C'était totalement différent que l'hôpital Ste-Mangouste. Il y avait des appareils partout, même dans les couloirs. Des voix sortaient de nul part et il y avait tellement de gens qui couraient, mais dans ce couloir, c'était plus calme. Comme si le temps avait décidé de s'arrêter pour prendre une pause. peut-être que dans cet aile les problèmes soignés moins demandant. Cela pouvait arriver. Tout devait dépendre, après tout, même à Ste-Mangouste il y avait des étages avec des soins différents. Alors pourquoi pas dans un hôpital moldu. C'est une meilleure façon de gérer les cas et de tout garder au même endroit. Comme cela, les cas sont facilement gérable. Bref, l'attention de Remus retourna sur le médecin qui venait de lui ouvrir la porte. L'homme en question semblait sympathique, mais en même temps, Lupin se méfia un peu de lui. Peut-être avait-il eut un drôle de passé, mais ses traits sévères et amicaux à la fois le faisait un peu douter.

Il fut inviter à entrer dans le bureau. Comme à son habitude, il fit le tour de la pièce du regard. Il y avait des papier encadré sur les murs, des immenses bibliothèque, un long sofa avec un petit sofa tout près et un bureau avec des sièges de chaque côtés. L'homme alla s'asseoir sur le siège derrière le bureau et le loup-garou fut inviter à s'asseoir devant lui, sur l'autre siège. Remus regarda une dernière fois la carte, Dr.Lecter... Il devait mémoriser ce nom. Lentement, il alla s'asseoir où il fut inviter. Il soupira. Allait-il tout lui déballer, lui dire qu'il ne savait pas ce qu'était un psychaitre (dans la tête de Remus, cela sonne Psichiatre (avec le son « chi » ou lieu « ki »). Alors, il allait lui dire ce pourquoi il était là.

~ En fait, je suis venu pour faire soigner mes plaies, et votre collègue, dont j'ai oublié le nom, mais qui avait une canne, m'a dit de venir vous vois, mais je ne sais pas pourquoi... J'aimerais comprendre.

Les yeux de Remus reflétaient la fatigue et la tristesse, mais sinon le sorcier se sentait très bien. Il avait l'impression que tout allait changer bientôt pour lui. Il devait seulement prendre le temps pour tout gérer dans ses pensées. Il devait oublier sa belle Tonks, son fils, ses amis... C'était difficile pour lui, mais il se sentait sur la bonne voie. Il avait Jack Harkness pour l'aider lors de ses transformation qui étaient plus douloureuses c'est temps-ci, mais il devait gérer le tout comme il l'avait déjà fait. La crème que le docteur à la canne lui avait donné semblait faire effet, car sa joue picotait où il y avait des plaies. Il espérait que cela fonctionne et, par la même occasion, que la plaie disparaisse, mais il se doutait du contraire. Il regarda à nouveau Lecter.

~ Pardonnez-moi de mon ignorance, mais je ne sais pas comment vous pourriez m'être utile...

[i]Lupin avait vraiment aucune idée comment cet homme, Lecter, pouvait l'aider. Il était ici pour faire examiner ses plaies, pas pour voir tous les médecins de la bâtisse, il avait autre chose à faire. Tout bien réfléchit, non. Il ne faisait rien... Il ne pouvait rien faire. Il voulait bien travailler, mais c'était trop compliqué pour lui... Il serait presque toujours absent au travail et il ne pouvait pas se permettre cela. Il ne voulait pas vraiment aller se promener, il venait de la faire et il devait retourner chez lui ensuite. Aller faire des achats : il avait très peu d'argent et il en avait besoin pour son loyer.. Donc, il pouvait bien passer sa journée dans cet endroit, mais il ne voulait pas passer une journée entière ici. En même temps, cela lui faisait un peu de compagnie... Peut-être pourrait-il essayer de se trouver un petit job... Non, il ne po

[C]

Psy… quoi ?

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L’homme qui était entré et avait pris place en face d’Hannibal n’avait pas l’air d’être l’un de ces patients ennuyeux dont on se laissait au bout de deux ou trois séances, non, il y avait en lui quelque chose de fascinant, mais le docteur ne savait pas de quoi il s’agissait exactement.
Ce regard triste et curieux ? ce visage griffé, ravagé par les plaies et les cicatrices ? à moins que ce ne soit cette attitude polie mais peu sûre qu’il arborait…

Fascinant n’était peut-être pas le mot juste. Lecter était intrigué, ça oui. Mais peut-être n’était que de la curiosité de sa part, comme lorsqu’il posait des questions à Clarice et qu’il attendait la réponse croustillante que la jeune femme allait lui servir sur un plateau… comme lorsqu’il avait affuté durant des jours et des jours une pointe de stylo à bille pour en faire, à force de patience et d’abnégation, un outil pouvant lui servir à ouvrir ses menottes pour pouvoir s’évader.
En repensant à cet épisode de sa vie, Lecter eut un petit sourire qui dévoilait deux rangées de dents parfaitement blanches et alignées. Il se souvenait très bien de la manière dont il avait agi. Arracher le visage du garde pour le mettre sur sa propre face, c’était audacieux. Et cela avait fonctionné à merveille.

L’homme disait être venu à l’hôpital pour soigner des plaies et avoir été dirigé vers Hannibal sans trop savoir pourquoi. Le patient évoqua aussi un autre médecin, dont la description ressemblait furieusement au diagnosticien qui avait tendance à essayer sans cesse de mettre de l’ambiance dans l’hôpital. Le psychiatre eut un léger soupir.

"Ainsi vous avez eu affaire au docteur House…"

Le médecin à la canne était brillant, mais terriblement peu mature pour un homme de son âge. Hannibal ne le connaissait pas plus que cela. Il s’agissait d’un collègue un peu spécial, mais très doué. Alors, il ne l’avait pas encore mangé.

"Bien, je manque à tous mes devoirs… Je suis le docteur Lecter. Hannibal Lecter. Médecin généraliste et psychiatre, mais vous avez lu bon nombre de ces choses sur ma porte et mon bureau."

Habituellement, Hannibal se présentait plus vite que cela, mais il avait été distrait, peut-être par l’aspect un peu ravagé du visage de son interlocuteur.

"Si c’est le docteur House qui vous envoie, il y a deux possibilités. Soit il veut nous faire une blague à tous les deux, soit il pense sincèrement que je pourrais vous être utile. Dans un cas comme dans l’autre, il niera, de toute évidence : il prétextera la première raison pour la seconde et inversement. Alors je vous propose d’essayer de voir ce que nous pouvons faire ensemble, pour vous aider à aller mieux…"

Et comme le patient confessait qu’il ignorait la manière dont Hannibal pouvait l’aider, ce dernier se mit en devoir de lui expliquer cela brièvement.

"Etant psychiatre, je suis apte à analyser ce qui vous empêche d’être heureux, ce qui vous bloque, vous retient… Par le dialogue et, parfois, quelques aides médicamenteuses, je suis payé pour aider chaque personne à trouver en elle les ressources pouvant l’amener à une vie meilleure. Voilà pour la théorie. En pratique, vous parlez, j’écoute, je questionne, j’analyse, je pousse à la réflexion, je cherche des éléments dans vos récits pour vous guider vers la lumière…
C’est un peu étrange, je le concède, mais de toute manière, si House vous a envoyé ici, vous aurez une visite chez un spécialiste sur la facture que vous recevrez. A vous de voir si vous voulez que je sois payé à ne rien faire ou si vous désirez ne serait-ce qu’essayer de voir ce qu’est mon métier et comment il se pratique."

[C]

Remus regardait toujours le médecin assit devant lui. Il ne comprenait pas trop comment le système de santé moldu fonctionnait. Il devait tout de même leur faire confiance, car s'il y avait toujours autant de moldu vivant sur terre, cela devait sûrement dire qu'il fonctionnait très bien. Par contre, le sorcier ignorait totalement qu'il allait recevoir une facture. Il devait payer les soins qu'il avait reçu?! C'était la première fois qu'il entendait une telle chose. Une chance qu'il ne payait pas vraiment les soins magiques, car cela lui couterait une fortune et il ne lui restait plus beaucoup de gallions dans son coffre à Gringotts. En y repensant, il devrait aller chercher de l'argent pour la transformer en argent moldu. Il ne pouvait pas rester sans argent aussi longtemps... À moins qu'il se trouve un petit job dans l'immeuble.. C'était bien une des seules choses qu'il pouvait faire. Il ne pouvait pas vraiment se permettre de prendre un emploi qui demandait d'être toujours présent, car déjà à cause de la pleine lune, le loup-garou avait de priorité avant tout cela. S'il devait prendre un poste avec le public, que durant la pleine lune il se transforme et qu'il attaque des gens, il ne savait pas comment les non-sorciers allaient réagir. C'était insupportable. Il voudrait tout faire pour ne plus souffrir de cette maladie... Il s'empêcha de soupirer, car le «psykiatre» allait sûrement trouver quelque chose à dire par rapport à cela.

Alors, il suffisait simplement à Remus de parler et le médecin allait trouver ce qu'il devait faire pour le rendre plus heureux. Allait-il vraiment y arriver? Le sorcier devait taire plusieurs choses sur lui : il était un sorcier et par-dessus tout, un loup-garou. Qu'allait-il lui dire? tout était relié à sa vie magique. il ne pouvait pas la renier... Il ne savait pas par quoi commencer, mais il pouvait tout de même voir comment Lecter allait l'aider, peut-être qu'il irait mieux et s'il voulait continuer, c,était comme cela lui sentait, mais il avait peur de voir le coût total de tout ce qui venait de faire. Est-ce que cela allait vriament lui coûter une fortune.

~ Je suis intrigué par votre méthode. J'aimerais bien essayer. Comme cela, la facture va bien refléter les soins que j'ai reçu venant de votre part. Je tiens à préciser une chose : je ne veux pas être sous traitement avec des médicaments. Je veux faire cela naturellement, si on continue à se voir bien sûr. Je ne sais pas pourquoi, mais les médicaments ne m'attire pas vraiment...

En fait, le sorcier avait confiance qu'en les potions, d'accord c'était une matière assez sensible, mais il aimait mieux cela, car il était habitué à cela. De plus, cela faisait effet instantanément et il pouvait en faire lui-même. Remus était bon en potion, mais la seule qu'il n'était pas capable de faire était sa potion pour les loup-garous. Il avait un peu de difficulté et c'était pour cela qu'à Poudlard c'était Rogue qui la lui faisait. Il trouvait cela dommage que lui aussi ait périt. Certes, ils ne s'aimaient pas beaucoup, à cause de leur enfance, mais Lupin avait un grand respect pour lui. Il y avait tellement de personne qui avait perdu la vie dans cette stupide guerre... C'était quelque chose d'impardonnable. Cela attrista Lunard. Tous ces gens lui manquait. Mais c'était pour le mieux. Voldemort n'était plus de ce monde et c,était enfin le moment de fonder des familles et de vivre une meilleure vie.

~ Alors, quand commençons-nous?

Lupin était septique par rapport à cette méthode de guérison, mais il allait tout de même essayer. Si cela pouvait l'aider, mais il redoutait bien le moment où il devait tout lui avouer. Sa magie, sa lycanthropie et les différentes morts de ses amis proches... allait-il le croire ou tout simplement penser qu'il était fou... Il ne voulait pas être dans un endroit comme où les parents de ce jeune Neville Londubat avait terminé... Il allait bien voir... tout ce qui le tracassait... c'était l'argent et ses secrets envers les moldus...

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