Le Hazard Les A Enfin Réunis. [ Kaito ]

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Cela fait environ ... hum ... une ou peut être deux semaines. Une ou deux semaines que j'erre dans la rue. J'ai faim, j'ai froid, j'ai peur. Je continue de marcher sans savoir où je vais. Mes pieds sont massacré par toute la marche que j'ai effectuée depuis des jours, chaque pas me torture, c'est comme si je marchais sur des piques tout en ayant les chevilles et les pieds fracturés de partout. Mes jambes tremble sans cesse, je dois faire de grands efforts pour continuer à me tenir debout. Ma main s'appuie contre le mur pour essayer de me donner un peu de soutiens, mais cela me fait très peu d'effets, car la faim et la déshydratation me rappelle assez vite que je suis en très mauvais état. Je me glisse dans une ruelle sombre en espérant ne trouver personnes, car vu mon état pitoyable, ils s'enfuiraient aussi vite qu'ils sont venus, car en ce moment je dois plus ressembler à un épouvantail oublier dans un champ depuis des années, qu'à un humain en bonne et due forme. Mes cheveux sont en bataille malgré les tentatives de les rassembler en une seule tresse, rien à y faire. La sueur dégouline sur mon front, je dois avoir des cernes plus qu'énorme. Mon jean est déchiré à plusieurs endroits, mon tee-shirt est tâché de boue, d'eau et de sueur. Je suis sûr que si je me voyais, je serais effrayé d'abord mais ensuite je m'aiderais, mais la plupart des personnes de ce monde ne son pas comme ça. Ma tête me fait atrocement mal. Soudain ma vu se trouble, ma tête tourne et je m'écroule contre le mur, je me laisse glisser le long et m'assois comme je peux.
Puis je me dis que ça sera surement bientôt ma fin. Après tout ce que j'ai vécu dans l'arène je me dis que ça serait idiot de mourir comme ça, mais depuis que je suis arrivée dans cette ville je n'ai trouvé que quelque bout de pain dans une poubelle, mais au bout d'un moment le propriétaire m'a vu et m'as chassée et je n'ai bu que l'eau de la pluie. En ce moment il ne pleut plus et je n'ai trouvé aucune poubelle digne de me donner le minimum.

Si je meurs maintenant .... Que deviendras Prim et ma mère ? Et Peeta et Gale ? Où sont t-ils ? Que font t-ils ? Pour ma mère je me dis qu'elles ont eu le temps de s'adapter au faite que je ne serais plus là pour elles, mais je me demande s'ils vont bien, si je leurs manque ... Peut être que oui ou peut être qu'au contraire pas du tout. J'imagine le Capitole débarqué d'une seconde à l'autre, me prendre et me torturer à mort jusqu'à me tuer. Sauf que dans mon état il ne risque pas de s'amuser longtemps ... Ce qui m'inquiète le plus c'est qu'ils s'en prennent à ma famille, à Gale et à Peeta. Sont t-ils cruels à ce point ? Je crois que s'ils me capturaient mes dernières paroles seraient de les supplier de ne pas les toucher, car ce n'est pas de leurs fautes, c'est ma décision pas la leurs.

J'ai tellement froid ... Même mes os me paraissent congelés. C'est à ce moment que je me rends compte que non seulement je tremble de tout mon être mais mes dents claque tellement fort qu'on pourrait croire à chaque coup qu'elles vont se briser. Puis comme si ça ne suffisait pas la faim revient, mon ventre gargouille plus fort que jamais et mes lèvres et ma langue sont pareil au Sahara. En cette nuit noire je me demande si quelqu'un passait, est-ce que il me verrais ? Cette ruelle est déjà si sombre à la base !
En ce moment même je prie pour que quelqu'un passe et me sauve, même si je sais que c'est impossible mais je ne perds pas espoir. Il y a des moments où j'aimerais ... où j'aimerais ... mon mal de tête pend surface et je vois totalement flou. Puis d'un coup, plus rien.

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Je me balade dans une ruelle bordée de lampadaire pour me détendre de la journée ardu que je viens d'avoir, certain se diront que chanter de 8h du matin jusqu'à 19h avec que une heure de pause est teellement bien mais c'est totalement le contraire, la voix se fatigue petit à petit et retenir toutes les paroles est... épuisant ! Donc je pense que marcher le soir avant de rentrer est une bonne chose pour moi, prendre l'air frais, voir les étoiles.. Quoi de mieux ?

Mon ventre gargouilla, j'ai très faim, énormément faim, je me dépêche donc de rentrer en passant par une ruelle sombre pour aller plus vite. Dans cette rue je vois une botte dépasser, je vais voir, une personne est allongé, souffrante, sale de sueur, d'eau, de boue, les cheveux en batailles, cette personne n'est pas loin de la mort. Mais je continuais mon chemin, comme si je n'avais rien vu... Puis je m'arrête et regarde une fois encore cette personne et eu pitié d'elle, pitié au point de la prendre sur mon dos et de la ramener dans mon appartement. Une fois chez moi, je lui change ses habits qui sont en piteux états par des habits plus... esthétique. Je l'allonge sur mon canapé et attend son réveil sur mon fauteuil.

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**J'ai faim …Oh, mais …**

Je me surprends moi-même à penser, ce qui veut dire que si je pense : je suis en vie ! Ou peut être pas justement, je suis peut-être morte, je suis sûrement au paradis ou en enfer bien que je n'aie vu aucune lumière blanche comme on me l'as racontée. Peut être qu'on m'a achevée vite fait. Mais pourtant j'ai cette sensation de faim et quand on est mort on a plus faim ? Non ?

Une odeur de chêne et de feuillage me monte au nez, puis plein d'autres odeurs venant toute d'un endroit que je connais particulièrement où personne ne peut me battre, la Forêt. Suis-je dans la forêt ? M'aurais t-on amené dans la forêt ? Ce qui serait totalement idiot je ne vois aucun intérêt là dedans. Puis il fait trop chaud pour que ce soit la forêt, j'entends un feu crépiter, ce qui doit expliquer la chaleur. Dans ce cas si je suis vraiment dans une forêt et qu'il y a vraiment du feu, je devrais courir sans perdre une seconde. Mais je reste très septique à l'idée d'être dans une forêt, car il n'y a même pas un bruit d'animaux.

J'ai encore trop peur d'ouvrir les yeux, mais j'essaye de bouger mes doigts. Après quelque tentatives j'arrive à les faire glisser légèrement et sous mes doigts je sens une matière extrêmement douce, du velours sûrement ! C'est décidé, j'ouvre les yeux. Il faut absolument que je sache où je suis. Ma vue est trouble mais, je m'en fiche pas mal, je peux déjà faire un état des lieux. Je regarde la matière sur la-quelles sont mes doigts, j'avais raison c'est du velours, du velours blanc très clair magnifique. Je vois aussi qu'on a pris l'aisance de me mettre des habits plus décent. Je remarque que je dois être sur un canapé soutenu par des rondins en bois, ce qui doit expliquer l'odeur de chêne. Je lève les yeux et examine vite fait la pièce, il y a une cheminée : ce qui explique le feux. Il y a une table en verre soutenu par du bois elle aussi, et encore plein d'autre chose quasiment toute faite en bois.

Mais soudain j'aperçois une silhouette, je cligne des yeux plusieurs fois et ma vu s'éclaircit. C'est un grand homme qui paraît musclé, heureusement il est de dos et ne risque pas de me voir. Mais un truc que je remarque immédiatement, ses cheveux sont bleues. Les seuls gens qui ont les cheveux bleues sont le capitole. Ils m'ont retrouvé. Une seule solution, fuir. J'arrive avec peine à bouger mes pieds mais après quelques efforts je me lève et commence à me diriger vers la porte. Mes pas sont si légers qu'une plume aurait fait bien plus de bruit que moi. La porte n'est plus qu'à environ un mètre mais, mes jambes n'ont pas l'air de vouloir me soutenir jusqu'au bout. Elles le doivent ! Mentalement je les encourage et je calcule chaque pas pour ne pas perdre le moindre d'énergie.

Soudain ma cheville flanche. Je m'écroule de tout mon poids. En moins d'une seconde je comprends qu'il m'as entendu et qu'il faut que je me relève et parte au plus vite. Je me remets sur mes deux jambes cours deux foulés ma cheville me fait affreusement mal et je retombe. Alors, je me relève marche un pas et retombe. J'abandonne l'idée de marcher ou courir mais s'il le faut j'irais en rampant. Je dois sortir d'ici le plus vite possible.

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Je suis assis sur mon fauteuil en velours devant ma cheminée quand soudain un bruit assourdissant vint résonner à mon oreille. Je me lève précipitamment, d'un coup ! Le canapé sur lequel cette femme était couchée est vide, je regarde derrière et la trouve par terre, essayant de ramper jusqu'à la porte, la cheville foulé. Lui aurais-je fais peur ? Non bien sûr je ne fais peur à personne, ma beauté est incomparable... Serait-ce peut-être à cause de ma couleur de cheveux ? Cela est vrai que cette couleur n'est répandue qu'au capitole.. Peut-être aurais-je du garder mon ancienne couleur, noir. Peut-être devrais-je lui demander ce qu'il ne va pas, pourquoi cherche-t-elle à s'enfuir ?

« Qu'est-ce qu'il se passe ? T'as peur de moi ? Alors que je te change tes habits, que je t'héberge ? »

Cette question me parait complètement bête, dénué de sens, car je doute qu'elle puisse parler dans l'état pittoresque où elle se trouve.

Je vais vers la porte, prend les clefs sur la table juste à côté et ferme à clef. Puis je monte dans ma salle de bain, tire le rideau de la douche qui devait ne pas servir à grand-chose ma foi, vu sa transparence... et fais couler un bain d'eau chaude. Je me retourne pour prendre les bandages dans l'armoire, il ne m'en reste qu'un peu, mais cela doit être assez. Je vais à nouveau vers cette fille, elle a l'air encore plus apeuré qu'avant. Je me baisse, elle bougea brusquement. Elle est prise d'une peur panique, ça se voyait ! J'attrape sa cheville et elle bougea d'une façon encore plus brusque qu'elle réussit à m'enlever sa cheville de mes mains :

« Arrête de bouger tu vas souffrir encore plus ! »

J'attrape à nouveau sa cheville pour y placer les bandages précédemment chercher. Je la sent se calmer de plus en plus.

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Je continue de ramper vers la porte, quand il m'adresse la parole. Je lui jete un regard haineux. Ce n'est pas parce qu'il m'héberge et me donne des vêtements qu'il ne veut pas me tuer ! Je trouve ça trop simple de répondre, je préfère l'ignorer. Évidemment vu mon état il n'a pas besoin de courir pour me devancer, alors je m'arrête et m'assois contre le mur. Il passe devant moi et ferme la porte à clef. Judicieux vu qu'il s'en va pour aller je ne sais où. Plusieurs idées me viennent, la meilleure semble sauter de la fenêtre, mais rien qu'en regardant à travers je peux voir que je suis sûrement au dernier étage et que je mourais net en sautant. Je pourrais aussi l'assommée, mais je n'y vois aucun intérêt, vu ma force en ce moment il ne sentirait à peine l'impact.

Alors je décide de rester là. Puis il revient avec un truc blanc en main ... des bandages apparemment. Il vient vers moi et se baisse. Évidemment je recule. J'ai tellement peur de ce qu'il peut me faire .... Il attrape ma cheville et d'un coup je la retire ce qui me fit un mal atroce mais j'évite de le montrer, je déteste montrer ma faiblesse.
Il a raison, si je bouge j'ai mal. Mais je ne peux m'empêcher de le craindre. La douleur gagne ma raison et j'arrête de bouger. Il continue de me bander la cheville, ce qui m'arrache quelques gémissements de douleur. Puis j'étudie son visage, il a de magnifiques yeux bleue océan qui s'accorde à ces cheveux. Il a un visage assez parfait. Mais son visage ... son visage me rappelle quelqu'un.... mais je n'arrive vraiment pas à le resituer. Puis je pense à toute cette situation, c'est ridicule. La capitole qui me mets un bandage, m'héberge et me donne de nouveaux habits. Je ne peux pas m'empêcher de rire, ce qui me fait assez mal aux côtes d'ailleurs.

« Depuis quand le Capitole s'occupe de ses prisonniers ?» Dis-je d'une petite voix moqueuse.

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Le Capitole dit-elle très bas ? Comment connaît-elle ça ? Ce n'est pas comme si c'était connu aux quatre coins du monde. Et ce « prisonnier » ? Non, mais pour qui elle me prend ? Je ne suis pas comme ces gens infâme que sont les personnes du Capitole ! De toutes manières, elle peut dire ce qu'elle veut elle ne risque pas de s'enfuir ni de faire autre chose dans cet état..

Je la pris une nouvelle fois sur l'épaule pour aller la remettre sur le canapé. À vrai dire elle est très légère... Peut-être a-t-elle soif ou faim ? Je pense que, vu les conditions physiques qu'elle a, la réponse doit être oui, bien évidemment.

Je m'empresse donc d'aller dans la cuisine pour y sortir un peu de pain, de jambon et du beurre, ce n'est pas beaucoup, certes, mais elle ne s'en plaindra certainement pas. Je mets la musique pour détendre l'atmosphère et commence à faire mon sandwich.

Soudain plein de questions me surgisse... « Comment connaît-elle le Capitole ? », « Pourquoi me compare-t-elle à eux ? », « Qui est-elle ? ».. Toutes ces questions m'envahissent la tête...

Une fois le sandwich fini, je prends une assiette, le pose dessus et retourne dans le salon pour lui apporter sa nourriture. Je pose sa nourriture sur la table basse en faisant bien attention de ne pas rayer le verre.

« Puis-je te poser une question ? Comment connais-tu le Capitole ? »

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Je le vois réfléchir à ce que je viens de dire. Puis il me prend sur son épaule et me repose sur le canapé. J'enrage. Il me manipule tel une poupée de chiffon et je me retrouve encore sur ce canapé. Horreur. J'abandonne toute idée de m'enfuir, je vois bien que je ne n'ai aucune chance. Cette fois-ci, je reste gentillement sur le canapé, furieuse, mais bien évidemment je le cache telle une gentille fille bien élevé. Puis il part et ce dirige vers une autre pièce, en attendant je me demande quand est-ce qu'il compte me tuer. Bientôt peut être. Puis je le voie revenir avec … oh ! Un sandwich, miam ! Je me dis quand même qu'au Capitole j'aurais pu avoir meilleur mais bon. Il pose délicatement l'assiette sur la magnifique table en verre.

Je n'arrive pas à détacher mes yeux du sandwich, je n'ose pas le toucher. Ça se trouve il n'est même pas pour moi. J'observe la garniture, apparemment jambon et je suppose qu'il y a du beurre aussi. Le pain à l'air tellement délicieux... Je suis sûr qu'il est bien meilleur que celui des poubelles. Puis le pain me rappelle Peeta... Il me manques. Mais j'écarte toute suite cette pensée, en ce moment même j'ai d'autres problème.

Puis là il me pose sa question. Je ne peut encore m’empêcher de rire ! Le Capitole est à ma poursuite depuis des mois et il me demande ça ? Peut être est-il juste un habitant sans télé, bien que cette ville n'as rien à voir avec Panem enfin ... Si je suis encore dans le 109. En plus la seule raison du Capitole d'être là c'est moi. Peut être qu'il ne sais pas quoi ressemble Katniss Everdeen, la fille du feu ? Ça m’étonnerais on m'as vu partout au moment de Jeux, mais vu mon état en ce moment, il est possible je ne sois pas reconnaissable. Ne comprenant pas vraiment sa question, je décide de répondre comme cela me viens.

« Tu sais ma mère ne m'as pas laisser dans l'ignorance, c'est pas parce qu'on est du district 12 qu'on est idiot ! Et j'en sais énormément sur le Capitole surtout depuis que j'ai participer au Jeux. »

Je continuais de regarder le sandwich, comme si j'étais hypnotisée.

Invité

Je la vois regarder le sandwich avec persistance.. Qu'attend-elle pour le manger ? Pense-t-elle qu'il est pour moi ? Les filles ne sont vraiment pas malignes...

« Il est pour toi ce sandwich ! Allez ! Hop ! Mange ! Tu à l'air d'avoir une faim de monstre ! »

Un éclat commence à briller dans ces petits yeux, un énorme éclat ! Tout d'un coup je me rappelle que je lui avais fait couler un bain. Je monte pour aller couper l'eau avant qu'elle ne déborde, le ménage n'est vraiment pas mon fort... Je sors une serviette du meuble et la pose à côté de la baignoire et redescend. J'ai plein de questions à lui poser.. « De quel district vient-elle ? », « Comment se sont passés les derniers Hunger Games ? » etc...

Une fois arrivé en bas, je la vois.. Encore assise, elle n'a même pas encore entamé ce que je lui ai préparé.

Mais j'y pense.. Elle a dis qu'elle venait du district 12 ? Comme moi.. Peut-être nous nous connaissions à l'époque où j'y vivais encore...

« Tu ne manges pas ? Je me suis trompé, tu n'as pas faim, peut-être ? Sinon.. Rapport au Capitole, comment t'appelle-tu ? »

Je n'aimais pas vraiment harceler les gens de questions, mais quand il s'agit de ce sujet-ci.. Je ne m'arrête vraiment plus ! Cet endroit à vraiment perturber mon enfance..

Invité

D'après ce qu'il dit, ce sandwich est pour moi. Pourquoi je n'arrive pas à y toucher alors ? Je pense que la soif m'interdit de manger, donc je décide de ne pas y toucher pour l'instant.
Il remonte à l'étage, mais bon sang ! Qu'est ce qu'il y a là-haut ?! D'autres gens du Capitole, qui sait.
Puis il revient. J'adore regarder ses cheveux bleu gigoter dans touts les sens. Enfaîte il me fais beaucoup penser Caesar, le présentateur des Hunger Games, les deux ont les cheveux bleue et s’habille tout en bleue. L'avantage de cet homme c'est que lui est très beau. Je retourne mon regard sur le sandwich. Ce si beau que je mangerais volontiers si la soif n'était pas aussi puissante derrière.
Je me sentais si vulnérable en ce moment même. Je suis maigre, sans force, affamé, déshydraté, prisonnières alors que lui … Il est musclé, grand, bien nourris, en forme et chez lui bien au chaud.

Il n'avait pas l'air si méchant finalement... Mais je ne ferais jamais confiance au Capitole et surtout pas a un étranger.
Il me demande pourquoi je ne mange pas et si je n'ai pas faim. Bien sûr que si, j'ai faim mais surtout j'ai soif. Mais je n'ose pas lui demandé car il fait déjà assez comme ça. C'est quand il me demande mon prénom que je le regarde droits dans les yeux. Il ne savait vraiment pas qui j'étais ? Peut être qu'il ne venait pas du Capitole … Serait-il un simple homme vivant dans un appartement ? J'aimerais bien ! Ça serais tellement bien ! J'étudie encore son visage, à la recherche de son identité... Il m'est tellement familié ! Un seul truc me perturbe. Il à changé quelque chose, c'est sûrement ça qui m’empêche de remettre un nom sur ce visage.

« Ka....Katniss...Katniss Everdeen et toi ? » dis-je en balbutiant.

Je stressais énormément. Qui était-il ? Je le connaissais j'en étais sûr. Peut être que lui ne me connaissais pas mais j'étais sur de l'avoir déjà vu.

Invité

Katniss Everdeen... Déjà quand je la regarde son visage me semble si familier.. Maintenant que je connais son prénom, c'est encore pire.. Je l'ai sur le bout de langue... Katniss Everdeen... Du district 12... Peut-être qu'elle aussi pense me connaître.. Peut-être l'ai-je déjà vu quelque part... Ça ne peut pas être au Hunger Games, car depuis que je suis parti je ne regarde plus ce jeu complètement inutile... Mais d'où pourrais-je bien la connaître ?

Mais bien sûr ! Katniss Everdeen ! Je m'en rappelle maintenant ! Une amie d'enfance qui vivait avec ses parents et sa soeur !

« Katniss ? C'est vraiment toi ? Mais que fais-tu ici ? Dans cette état ? »

Elle ne doit pas me reconnaître sûrement, j'ai changé de couleur de cheveux, mon prénom je ne lui ai pas dit.. AH OUI ! Mon prénom.. Il faudrait bien que je lui annonce sinon comment va-t-elle faire pour me reconnaître ?

« Tu dois m'avoir oublié depuis le temps.. À l'époque j'avais les cheveux noirs et j'avais un autre prénom, malheureusement, avec le temps je l'ai oublié ! On allait dans la forêt pour jouer.. Mais à 10 ans j'ai décidé de m'enfuir du district 12. »

Devrais-je lui demander comment va son père ? Après tout, il m'apprenait à lancer le couteau et je restais la plupart de mon temps avec lui !

« Comment va ton père ? Toujours aussi bon au lancer de couteau ? »

Invité

Je le vois d'abord réfléchir. Comme s'il cherche quelque chose, peut être que je lui dis aussi quelque chose. J'aimerais bien car il m'aiderait sûrement sur son identité. Puis il semble avoir trouvé. Effectivement il sait que je suis. Ce qui me demande un peu de réflexion. D'où me connais t-il ? Peut être à t-il regarder les derniers Jeux, ou alors me connaissait il car un ami lui avais parler de moi, il y a tellement de possibilité ! J'étais quasiment sûr maintenant qu'il ne venait pas du Capitole, il ne me reste plus cas attendre une confirmation de sa part.

« J'ai gagné les Hunger Games d'une manière assez particulière, ce qui a beaucoup énervé le Capitole, alors j'ai décidé de m'échapper du district 12 il y a de ça un mois. Alors j'ai du passé par des endroits que tu n'imagine même pas, puis je suis arriver dans cette ville. Je suppose qu'il me cherche partout maintenant... »

Puis je l'écoute se présenter. Puis j'ai comme un Flash Back. Je revois ce petit garçon au cheveu d'un noir comme nous avons dans nos mines, je revois mon père aussi. Il lui apprenait à lancer des couteaux, il était particulièrement douer, je me demande s'il est toujours aussi fort. Je me rappelle nos longue journée à nous balader dans la forêt où je m'entraînais à l'arc pendant que lui s'entraînait au couteau, ils nous arrivaient de rapporter de beau gibier que ma mère cuisinait en soupe le soir, de temps en temps on l'invitait à partager des repas chez nous. Mon père et lui était assez proche. Je me rappelle le jour de son départ. Comment l'oublier ? Le Capitole fouillait tout le district, ma soeur encore petite pleurait tellement, elle était terrifiée. Je me suis toujours demandée s'il avait survécu, ce qui en sois voulait dire que j'avais beaucoup d'espoir car tout le monde savait bien que c'était impossible, mais j'y croyais et j'avais raison puisque aujourd'hui il était devant moi, en pleine forme et en vie. Puis il me dit qu'il à oublier son nom, ce qui me laisse perplexe. A t-il un nouveau nom ou non ? Sinon je vais devoir le nommer « l'homme au cheveux bleue ».

Puis là, tout s'écroule. Ne savait il pas pour mon père ? Je me demande comment il pourrait ... Je mets longtemps avant de répondre. Je baisse la tête et fixe mes pieds. D'un coup je me sens mal, non pas à cause de la faim ou quoique ce soit, mais parler de mon père m'es dure. Très dure. J'aimerais répondre qu'il va bien, qu'il est toujours aussi bon au couteau, à l'arc et à la chasse. Mais je ne peux pas. Ce n'est pas vrai. Entre autre mentir me rendrais presque service, ça me donnerait une seconde réalité à laquelle je pourrais m'accrocher. Mais je ne peux pas mentir, ni à lui ni à moi.

« Mon père est... enfin il ... Il est mort dans une explosion à la mine un an après ton départ. »

Je redresse légèrement la tête, mais évite de le regarder. Je ne veux pas qu'il voie que j'ai les larmes aux yeux. Mais je me promets de ne pas pleurer.

Invité

Katniss a participés aux Hunger Games ? Ce n'est pas possible ? Et elle est encore en vie ? Je la reconnais bien là ! Je pense qu'elle a dû avoir l'arc sinon comment aurait-elle pu gagner ?

« Félicitations ! Gagner les Hunger Games ne devaient pas être faciles ! Cependant.. Tu as laissé toute ta famille, tes amis là-bas.. Ne vont-ils pas se sentir.. quelque peu.. abandonnés ? Je pense que je suis passé par des endroits encore plus inimaginables que les tiens pour arriver au 109 ! Ne t'inquiète pas, je ne pense pas qu'ils vont te retrouver ici »

Le morale de Katniss a commencé à baisser au moment où je lui ai demandée comment va son père... sa réponse fut affreuse.. Mon ancien maître au couteau est.. mort... dans une explosion...

« Il est.. mort dis-tu ? Dis-moi que c'est une blague ? Il ne peut pas être mort ? IL N'EST PAS MORT ? »

Les larmes me monte soudain aux joues et glisse le long de mes joues jusqu'à s'écraser sur le sol en bois... Mes jambes ne voulaient plus tenir, je m'accroupis donc sur le sol... Soudain un penser horrible me vint à la tête ! Peut-être que si je ne m'étais pas enfuis, il ne serait pas mort ! Il serait peut-être allé lancer le couteau avec moi ! Je pris Katniss dans mes bras et lui souffla « Désolé... Je n'aurais pas dû...»

Invité

Il a l'air surpris que j'ai gagné. Ce qui est totalement normal vu qu'à part Haymitch personne n'avait gagnée avant dans le District 12. Mais je me rappelle quelque chose d'important.

« Je ne suis pas la seule à avoir gagné... » dis-je dans un murmure.

Je ne sais même pas s'il m'as entendu mais je tenais à le dire. C'est un détail important car si nous n'avions pas été deux, je serais au quartier des vainqueurs avec ma famille. Non, ce n'est pas vrai. J'aurais laissé Peeta gagné et vivre sa vie là-bas.
Mais c'est là que l'homme au cheveux bleu s'écroule à l'annonce de la mort de mon père. Ses larmes coule le long de ses joues. Je suis un peu surprise de voir à quel point il est perturbé … Je ne savais pas qu'il tenait autant à mon père. Sa douleur déteint sur la mienne, tel que mon cœur se sert, mes larmes sont sur le point de couler mais j'essaye de me retenir de pleurer. Je dois être forte. Forte pour mon père qui ne voudrait pas ça, il ne voudrait pas me voir dans cet état. Puis cheveux bleu me sert dans ses bras. Je lui rends son étreinte. Généralement le contacte avec des gens presque inconnus ou avec des veilles connaissance, est presque inexistant, je ne suis pas fusionnelle. Mais là, c'est totalement différent. Il parait tellement bouleversée, tellement triste que je ne peux m’empêcher d'essayer de le réconforter. Mon père était quelqu'un d’extraordinaire... Jusque là je n'ai jamais rencontrée quelqu'un comme lui. Non jamais. Il était toujours à l'écoute des gens, il était tellement généreux, il aimait vivre malgré là où on habitait. Pas étonnant que ma mère à quitter son district pour lui.
Soudain une larme dévala ma joue.

« Ce n'est pas de ta faute... » lui chuchotais-je.

Une deuxième larme coule. Je ne dois pas ! Je respire lentement pour essayer de me calmer. Je trouve ça tellement touchant qu'il n'est pas oublié mon père depuis tout ce temps. Apparemment il était plus proche avec lui qu'avec moi. Je crois que s'il n'était pas parti nous aurions pu devenir aussi amis que je l'étais avec Gale. J'ai vraiment tout gâché avec Gale... Si un jour je reviens au district 12, j'essayerais d'arranger ça. En attendant je continuais d'enlacer cheveux bleu.

Invité

« Tu n'es pas la seul à avoir gagné dis-tu ? Mais qui alors ? Est-ce possible que deux personnes gagnent ? Le Capitole a brisé le règlement ? Il est tombé bien bas... »

Cela m'étonnait fortement que deux personnes puissent sortir vivantes du jeu... À vrai dire, ça n'est jamais arrivé donc c'est totalement normal que mon étonnement soit si grand. Une larme tombe sur la joues de Katniss... Puis deux... Cela me parait bizarre... Mais tout à fait normal et compréhensible... Je relâche soudainement l'étreinte pour me lever et sécher mes larmes.

« Je t'ai fait couler un bain, dépêche toi avant qu'il ne refroidisse, tu mangeras ton sandwich plus tard je vais le mettre au frais »

Sur ce, je pris le sandwich et le mis dans le frigidaire emballer dans du film plastique. De retour dans le salon, Katniss était toujours assise sur le canapé, je pense qu'elle est perdu dans un appartement grand comme celui-ci, je pense que je devrais lui indiquer le chemin.

« Katniss, si tu cherches la salle de bain c'est en haut juste en face des escaliers, je t'ai préparé une serviette. Et si tu as besoin de quelque chose d'autres sers toi, fais comme chez toi si je ne puis dire... »

Puis je monte dans ma chambre et soudain, une envie de jouer de la basse me prit. Je la pris sur mes jambes et commence à jouer mon morceau préféré.. Il me rappelle tellement de souvenir que j'en deviens nostalgique. Je pose ma basse tranquillement pour aller m'allonger sur lit. Mes yeux se ferment doucement par la fatigue accumulée au cours de cette nuit...

Invité

Apparemment il m'as entendu, et comme toutes personne aurait réagi il est très surpris.

« J'ai gagné avec Peeta Mellark. Je ne sais pas si tu te souviens, c'est le fils du boulanger. Enfaîte le Capitole n'a pas trop eu le choix, c'était soit deux gagnants, soit aucun. »

Ma voix se crispa un peu. Parler de Peeta était assez dur. Moi qui ne croyais n'avoir aucun sentiment, je n'en suis plus si sûr maintenant...
D'un coup il lâche l'étreinte, j'ai l'impression qu'il regrette presque. Il se relève et essuie ses larmes, ce que je fais de même. Puis il m'annonce qu'un bain m'attends … C'est peut être ça qu'il allait faire en haut. Je trouve ça très gentil de ça part de s'occuper de moi comme ça, il n'est pas obliger mais il le fait, ce qui est une preuve de générosité je pense. Je le vois repartir dans la cuisine, c'est là que je me rends compte que je n'ai aucune idée d'où est la salle de bain. Alors j’attends là et observe autour de moi.
Il m'indique le chemin. Je me dirige vers les escaliers avec peine, car ma cheville me fait mal et j'ai quand même toujours faim et soif. Le fait d'avoir dormi un peu m'as quand même permit de me régénérer un peu. Je monte lentement les escaliers en m'appuyant sur la rampe, peur de tomber. Une fois en haut j’aperçois une porte juste en face. C'est sûrement ça. J'ouvre la porte délicatement, et effectivement, un bain m'attends. La première chose vers laquelle je vais, c'est le robinet. Je l'ouvre me penche sur le lavabo et bois sans m'arrêter. Au bout de 3 minutes je me dis que ça suffit et je l’éteins. Ensuite j'enlève mes habits un par un délicatement pour ne pas utiliser trop de force. Alors je me regarde dans le miroir. J'observe mon corps nu. Mes cheveux sont dans touts les sens, mes joues sont creusée par la faim, mon teint est terne, et j'ai effectivement de grandes cernes. Je regarde plus bas, et je constate que j'arrive à compter chacune de mes côtes, je remarque que les os de mon bassin commencent à ressortir. Je me retourne. Je ne veux plus voir cette fille affreuse qui n'est plus qu'un tas d'os.
Je plonge un premier pied dans l'eau pour voir la température. L'eau est parfaite ! Je plonge ensuite mon corps en entier. Cela me fais un bien fou, je peux enfin me débarrasser de toute cette crasse sur moi que j’accumule maintenant depuis environ un mois. Je ferme les yeux quelques secondes pour profiter mais je décide de les rouvrir par peur de m'endormir et de me noyer. J'observe le plafond et ne pense plus à rien. L'eau chaude me détends totalement.
Au bout de 30 minutes je décide de sortir, je ne voudrais quand même pas trop profiter de ce qui n'est pas à moi. Je me sèche et mes rhabille avec les habits que m'as donné cheveux bleue ( d'ailleurs je devrais peut-être lui demander un nom …). J'évite bien évidemment le miroir mais je dois me coiffer alors je suis bien obligée. Je me permets de fouiller dans les tiroirs à la recherche d'une brosse. Après en avoir trouvé une je me permets d’emprunter un sèche-cheveux. Après avoir tout brosser et tout sécher, je prends mon élastique que j'ai gardée autour de mon poignet, et évidemment je rassemble mes cheveux dans une seule natte sur le côté. Je range tout et me regarde une dernière fois dans le miroir. Je me sens déjà en meilleur état, je suis propre maintenant.

Je sort et aperçois une porte entre-ouverte, je m'approche et me rends compte que c'est la chambre de cheveux bleu. Il est allongé sur son lit, apparemment il dort. Puis à côté de lui je vois une magnifique Basse bleue océan. Je m'approche et la frôle du bout des doigts. Un magnifique instrument certes! Je remarque qu'elle encore branché à l'amplificateur, je la prends délicatement et n'ose même pas touché une corde peur de réveiller cheveux bleu. J’éteins l'ampli et retire le fil, je l'enroule et le range délicatement dans le compartiment de l’étui. Je prends délicatement la Basse observe une dernière fois cette merveille, ma range dans son étui et place l'étui dans un endroit en sécurité. Alors comme ça cheveux bleu est un musicien ? Intéressant. Je le regarde une dernière fois et ferme délicatement la porte derrière moi.

Je descends les escaliers et me dirige vers la cuisine. J'ouvre le frigo et aperçois mon cher et tendre sandwich jambon/beurre. Je sort l'assiette, me ressert un verre d'eau et m'assois à une table dans la cuisine. Je renifle l'odeur du pain et du jambon pendant quelques secondes, mais mon ventre me rappelle vivement que je ferais mieux de le manger ! Alors je porte le sandwich à ma bouche. Et là … Ouah ! Je n'avais jamais mangé un sandwich jambon/beurre aussi bon ! Le fait de n'avoir pas manger depuis presque plus d'une semaine doit légèrement jouer sur son goût mais bon....
En moins de deux minutes j'ai tout fini. En face de moi j'aperçois une belle pomme rouge. Il a bien dit « fait comme chez toi », non ? J'attrape la pomme, puis avec recule je me demande si elle n'est serait pas empoisonnée … Voyons ! Je ne suis pas Blanche-Neige ! Je croque bien fort et entame la pomme à grand coup de dents. Une fois fini je jette le peu de trognon qui reste et vais au salon. Je m'assois sur le canapé, pour une fois j'y vais seule ! J'aperçois un livre, un manga. Je le prends et commence à lire.

Invité

Je commence à me réveiller doucement et délicatement, je me frotte les yeux et me lève. Je vois que ma basse n'est plus là, je cherche partout, sous le lit, derrière la porte, sur l'armoire, mais elle était dans l'armoire. Katniss doit être passée par là, à moins que je ne sois somnambule ce qui m'étonnerait fortement ! Je sors de la chambre et regarde si la salle de bain est libre, effectivement, elle l'est. J'entre, la première chose que je vois ? Mon magnifique visage dans le miroir en face de la porte. Je regarde la baignoire et vois le peu d'eau qu'il reste dans la baignoire, j'espère qu'elle a aimé son bain ! Mais je n'étais pas là pour ça, j'allume le robinet avec de l'eau complètement froide et m'en asperge sur toute la figure pour me réveiller, je prends ensuite le peigne dans l'armoire pour me recoiffer, mes cheveux ont la mauvaise habitude de n'en faire qu'à leur tête quand je dors...

Une fois fini, je descends dans la cuisine pour voir comment elle va et faire à manger.. Il est quand même 13 h 15 ! Arrivé au pied des escaliers, je perçois Katniss sur le canapé en train de lire le manga que j'avais posés sur ma table basse mais n'y prête pas trop attention, je vais directement dans la cuisine. Je sors les pâtes et deux steaks de boeufs. Je la sens déjà saliver ! J'y pense, elle n'a pas d'endroit où vivre ?

« Dis, tu n'as pas d'endroits où habiter je suppose, si tu veux tu peux vivre ici, mais en contrepartie tu vas devoirs travailler pour payer le loyer ?! »

Je ne pense pas que ça la dérange, ce seras plus simple de vivre à deux, il faut aussi que je fasse sa chambre. Je me décide donc d'aller en ville pour acheter des couettes ainsi que des housses pour faire son lit. Je me dirige donc vers le porte-manteau et prends ma veste qui y était accrochée, car oui, aujourd'hui il fait extrêmement froid, je prends les clefs qui sont dans ma poche et part.

« Je reviens... Kaito... C'est mon nouveau nom ! »

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