C'est parti pour la fiesta !!

Quand vous rentrez du boulot, vous avez parfois envie de vous bourrer la gueule puis de vous coucher et ronfler comme un porc jusque tard le lendemain… C’est une bonne manière de se détendre, mais il y a mieux encore. Imaginez qu’après avoir traîné toute la journée dans un hôpital à sauver des vies et à chercher tout un tas de stratagèmes pour pouvoir jeter un œil – ou deux – dans le décolleté plongeant de votre patronne, vous rentrez dans votre immeuble, passez par le local du courrier et découvrez qu’une fille vous invite à une fête qu’elle donne chez elle, deux étages au-dessus du vôtre. Ça fout vos projets de grasse mat’ à l’eau : le boucan que présage ce genre de trucs, ça vous empêcherait de dormir, alors, autant y aller et profiter de tout ce que cette petite sauterie peut vous apporter.
Ainsi avait raisonné le docteur House après avoir trouvé l’invitation de Tonks dans sa boîte aux lettres. Il avait vérifié qu’il était vêtu de manière assez correcte (tee-shirt, chemise non repassée, veste, canne… ok, tout y était), puis avait piqué une bouteille de whisky à Sherlock avant d’emprunter l’ascenseur.
Le cinquième étage, Greg ne connaissait pas bien, mais les gens qui étaient dans le couloir et entraient tous au même endroit ne trompaient personne. La fête se donnait bien là. D’ailleurs Gregory put entendre l’excellent groupe des Rolling Stones diffusé par la chaîne qui fonctionnait dans l’appartement de la fille qui invitait.

Avançant jusque là, il vit une jeune femme – pas mal du tout – puis entra, sans qu’on le lui ait proposé, mais la porte était ouverte. Et là, sur un fond bien rock, Greg vit son "assistant" de l’autre jour occupé à vomir des limaces, tandis qu’une fille - pas mal non plus - aux cheveux violets qui se présentait à un type qui semblait victime d’hallucinations et qui était apparemment atteint d’une drôle de maladie qui lui donnait une couleur de peau assez bizarre… Enfin, bref, la nana qui invitait, c'était elle, apparemment.

*Euh, ok, c’est peut-être une soirée déguisée ?*

Le thème de la folie se prêtait bien à ce que le diagnosticien voyait, après tout. Et lui, il était arrivé sans même avoir enfilé un déguisement… Bah, tant pis… Mais le coup des limaces, c’était vachement bien trouvé ! à se demander comment son "assistant" avait fait !
Greg alla jusqu’auprès de la fille aux cheveux mauves que le mec qui voyait des dragons avait plaquée au sol. Le médecin se pencha vers elle.

"Salut Punkette, c’est vous qui organisez, c’est ça ?
Faudra faire gaffe aux substances illicites, je pense que si un flic débarque, votre copain doré, là, il se fait embarquer directement…"

Voir des dragons, c’était bizarre, mais bon, chacun son trip.

"J’ai apporté ça, je n’avais plus de space-cakes chez moi."

House montra la bouteille de whisky et la posa sur la table, à côté d’un type habillé comme pour un gala… du début du siècle.
Il n’aida pas la fille aux cheveux violets à se relever et se servit un verre de punch.

"N’empêche, vous auriez pu mettre sur votre invitation que c’était un bal costumé… enfin, pas sûr que je serais venu, mais ça se fait parfois de prévenir…"

Là dessus, House but un peu de son punch puis posa les yeux sur le type à la peau dorée.

"J'espère pour vous que vous n'avez pas confondu votre maquillage avec de l'acrylique... ça le ferait pas trop de rester de cette couleur-là."

Invité

- Bonsoir, je suis Nymphadora Tonks, mais appelez moi Tonks.

Son sourire se crispa. Vu ce qu'avait dit le jeune homme doré, le sortilège ne semblait pas avoir fonctionné sur lui. Ce qui était légèrement embêtant pour cacher sa magie.

- Ce n'était pas... c'était juste... enfin, je veux juste dire que...

Elle était incapable de former une phrase correcte. Les moldus, bien que celui en face d'elle n'avait pas l'air d'en être un, n'était pas censés être au courant de l'existence de la magie. Les deux moldus étaient sougneusement séparés, et lorsque l'un recontrait l'autre, des centaines de mages préservaient le secret. Des équipes entières d'Aurors, des sorts d'Oubliette. Tout était fait pour que les moldus ignoraient leur existence. Et il avait suffi de quelques jours pour qu'elle rompe le secret. Deux fois en plus. Une fois au bord du fleuve, devant Claire et la seconde fois devant lui. Cependant, elle ne semblait pas être en danger avec lui. Et elle n'en avait pas envie.
Elle tendit les bras pour attraper ce qu'il lui avait apporté.

- Merci beaucoup, c'est magnifique.

Elle se débrouilla pour coincer le paquet sous son bras et mit le collier autour de son cou. Elle releva la tête et sourit.

- Alors, tu trouves comment?

En posant cette question, elle le regarda. Sans pouvoir s'en empêcher, elle le dévisagea. Il était vraiment très beau. Et sa couleur lui donnait un aspect mystique.

- Excuse ma question mais, qu'est ce que tu es?

Elle n'obtint pas de réponse. Le jeune homme venait de se jeter sur elle en hurlant qu'un dragon leur fonçait dessus. Il la plaqua au sol. Pour faciliter les choses, elle entendit quelqu'un arriver.

*Génial, il ne manquait plus qu'un nouveau voisin*

Au milieu du son produit par les régurgitations « gastéropodiennes », elle entendit quelqu'un qui la saluait.

- Oui, c'est moi qui essaye en tout cas.

Elle le regarda parler abasourdie. Est ce que quelqu'un pouvait lui ammener un dictionnaire Moldu-Sorcier s'il vous plaît? Elle s'adressa au Fou.

- Excuse moi mais est ce que tu pourrais te décaler s'il te plaît?

Et avant qu'il agisse, elle le poussa, se dégagea et se leva. Elle se dirigea vers la table et se retourna pour demander au jeune homme doré, à la jeune femme et à Paul s'ils voulaient boire quelque chose. Elle s'approcha du nouveau venu.

- Et à part un petit comique, tu es?

Elle but son verre en regardant l'homme à côté d'elle. Il lui faisait penser à Remus: ces yeux bleus et cet air souffreteux.
Elle ne put pensr à son cher disparu plus longtemps. Une régurgitation la fit revenir sur Terre, et ellle se précipita vers Olaf.

- Il va falloir que je m'occupe de toi Olaf. Où est ce qu'on peut aller pour être un peu plus tranquille?

Tonks passa en revue les différents endroits qu'elle avait à disposition.: le salon et la cuisine impossible, les toilettes.... non plus, sa chambre.... hors de question. Son visage s'éclaira. Elle avait trouvé.

- Viens, on va aller dans la chambre de ma coloc. Elle n'est pas là, autant en profiter. Mais attends moi je reviens.

Elle ouvrit un placard et sortit sa baguette après avoir vérifié que personne ne la voyait. Elle fit discrètement apparaître un sceau, rangea sa baguette et ferma le placard. Elle prit Olaf par le bras et l'entraîna dans la chambre de Leeloo.

Invité

Arsène et Tonks avaient parlé ensemble un petit moment et ça avait, selon toute apparence, fait du bien à la jeune femme. Puis, en regagnant le salon om tout le monde était, Nymphadora eut soudain l’air inquiète. Elle cherchait Olaf, demandant même à Lupin, qui pourtant n’avait pas quitté la jeune femme d’une semelle, s’il ne l’avait pas vu. Il lui suggéra de vérifier les toilettes, mais sans grande conviction…
Puis tout se passa très vite. Arsène ne chercha pas à comprendre quoi que ce soit, il y avait apparemment un problème. Tonks lui demanda d’aller quérir un autre saladier de chips et le Français disparut donc dans la cuisine où il chercha après ce que la demoiselle lui avait demandé.

Et quand il revint au salon avec le saladier, le gentleman-cambrioleur remarqua plusieurs personnes qu’il n’avait pas encore rencontrées jusqu’alors. Une jeune femme, un homme au visage très raffiné et un autre, mal rasé. Le Comte Olaf, quant à lui, était dans une situation délicate. Il avait dû manger quelque chose d’avarié avant de venir ici, car il avait, visiblement, des nausées effroyables.

Et l’homme au beau visage semblait, lui, un peu dérangé puisqu’il affirmait voir un dragon dans la pièce. Un dragon ? Voilà qui était terriblement étonnant. Aucun adulte sensé ne songerait à évoquer une créature légendaire…
Lupin avait posé le saladier et heureusement car à présent, les bras lui en tombaient. Ce qu’il se passait ici était vraiment étrange. Il choisit d’aider l’homme qui avait des hallucinations à se relever, préférant ne pas trop approcher celui qui était mal rasé et paraissait un peu rustre.

"Monsieur, tout va bien ?
Vous devriez peut-être vous asseoir et prendre un verre d’eau, je suis sûr que tout se passera bien…"

Du moins, il espérait que tout se passe bien. Olaf avait été emmené par Tonks dans une chambre, certainement pour qu’il puisse se reposer un peu. Elle allait devoir rester auprès de lui et prendre soin du Comte.
Décidé à faire de son mieux pour éviter à Nymphadora le fardeau de s’occuper de tout, Arsène proposa à voix forte, pour que tout le monde l’entende :

"N’hésitez pas à vous servir en biscuits apéritifs et autres amuse-bouches ! Notre hôtesse a fait les choses en grand, il nous faut lui faire honneur !"

Sujet: Re: C'est parti pour la fiesta !! Sam 07 Nov 2009, 17:32

Cette soirée se prolongea quelque temps encore, avec des événements plus ou moins marquants… Notre envoyé spécial, Marie Patch, était sur les lieux pour pouvoir vous rendre compte de ce qui s’est passé ensuite. Marie Patch, c’est à vous !

Merci Abel. Il est vrai que les choses ont été assez complexes par la suite, mais je ne serais pas moi si je ne parvenais pas à vous faire un compte rendu digne de ce nom.
Nous en étions donc au moment où Nymphadora Tonks était partie s’occuper du Comte Olaf, en bien mauvaise posture suite à une intervention étrange de Severus Snape, tandis qu’Arsène Lupin tâchait de s’occuper des invités encore présents dans le salon. Parmi ces invités, Max Guevara avait changé d’avis et décidé de ne pas se joindre à cette bande bizarre quand elle avait vu un type d’une drôle de couleur plonger directement, la tête la première, vers le pied de la table. Le résultat fut assez impressionnant : l’homme doré s’assomma tout bonnement.

Le plus intéressant arriva par la suite.

Arsène Lupin, présenté à cette soirée sous son pseudonyme Paul Sernine, s’est rendu compte que l’homme doré ne se réveillait pas. Il sortit donc de l’appartement 503 pour appeler les secours depuis son appartement, le 501, puisqu’il ne voulait pas ennuyer l’hôtesse en lui demandant où était son téléphone ou ce genre de choses.
Pendant ce temps-là, Gregory House profita bien des boissons présentes… lui qui voulait boire comme un porc était bien servi ! il commença par quelques verres de punch, vidés en un temps record, et continua avec le saladier porté directement à sa bouche. Malheureusement pour le diagnosticien, boire tant en si peu de temps est un peu déconseillé pour l’estomac et l’homme se sentit vite un peu barbouillé sur les bords (et beaucoup au milieu). Ne pouvant retenir en lui la preuve de ses libations gargantuesques, Greg House finit par vomir, juste devant la tête de quelqu’un qui était là, assommé et sans défense, j’ai nommé : le Fou. Ne perdant pas le nord, le médecin traîna le corps du Fou sur quelques dizaines de centimètres pour lui poser la tête dans le vomi, se protégeant ainsi des foudres potentielles.

Croyez-le ou non, mes chers lecteurs, Gregory House, après s’être débarrassé de ce poids sur l’estomac, se sentit bien mieux et presque en forme, forme que put constater Arsène Lupin en revenant. Le gentleman-cambrioleur avait cherché, en vain, le numéro des urgences, mais comme il venait d’ailleurs et d’un autre temps, cela lui était plutôt inconnu et il revenait donc sans avoir pu accomplir la mission qu’il s’était assignée. Mais en revenant, il vit aussi que le Fou, toujours à terre, avait vomi. Quel carnage ! Et pendant que Greg s’attaquait à quelques apéros qui siégeaient encore sur la table, Arsène, plutôt bien élevé et altruiste, ôta son veston et remonta ses manches pour éviter que Nymphadora n’ait trop de travail avec tout ça.

Tiens, parlons-en, de Tonks… Elle était toujours auprès du Comte Olaf qui régurgitait sans cesse des limaces de toutes tailles et de couleurs variées, mais toujours avec les mêmes bruits horribles et peu ragoûtants. Et la patience de tout un chacun ayant des limites, celle de la jeune femme aux cheveux roses n’échappait pas à la règle. À l’aide de sa baguette magique, elle stupéfixa le Comte dans une position très pratique : penché au-dessus du seau, incapable de parler… une position qui permettait aux limaces de descendre d’elles-mêmes l’œsophage puis le gosier d’Olaf et d’atterrir proprement dans le seau en faisant des « splatch » et des « pletch ».

Libérée de cette lourde tâche (ou lourde tache, selon le point de vue), Tonks revint au salon et fut tout simplement ébahie de voir l’homme doré endormi dans du vomi tandis que le boiteux mal rasé dansait (en boitant, logique) sur la chanson "Thriller" de Michael Jackson. Quand le médecin vit revenir la punkette, il l’attrapa pour qu’elle danse avec lui (après tout, ils étaient là pour s’amuser, non) tandis qu’Arsène s’occupait de ramasser des bouteilles vides qui traînaient un peu partout.
Mais on connaît tous comment est Tonks, elle ne pouvait décemment pas laisser son invité ramasser des crasses pendant qu’elle s’amusait avec le boiteux, alors, elle attrapa le gentleman-cambrioleur pour l’emmener danser, lui aussi. Et les voilà tous trois sur une ligne, à se tenir par les épaules de temps en temps, à faire des pas très connus (ceux de la macarena) sur un hit de MJ. Beau tableau !
Et pour le final de cette magnifique danse, Nymphadora, désormais dans l’ambiance festive, voulut faire un double saut périlleux arrière… ce qu’elle fit (presque) sans problème, puisqu’elle sauta en arrière, parvint à tourner deux fois et finit par atterrir… pile dans le vomi du Fou. On imagine tous ce que cela causa : une belle chute de la jeune femme qui, pour essayer d’éviter de se casser la figure, s’était agrippée au passage aux deux hommes présents. On imagine tous la suite : les trois se retrouvèrent par terre, les quatre fers en l’air.

C’est alors qu’Arsène eut l’idée de rester assis par terre et de faire un jeu. Il sortit un jeu de cartes mais n’avait pas vraiment d’idées. Gregory vint à la rescousse en expliquant une variante du Jungle Speed où chacun devait choisir un cri d’animal puis tirer, à tour de rôle, une carte de son paquet… et quand il y avait deux cartes de même couleur ou de même puissance, il fallait faire trois fois le cri d’animal de l’autre avant lui. Le perdant buvait cul sec un grand verre de vin.
Ce passage-là dut assez marrant dans le genre : Tonks avait choisi de faire le cri de la vache (meuh meuh), Arsène avait opté pour la poule (cot cot cot codak) et Greg pour le paon (léon léon). Je vous passe les détails, mais pendant quelque temps, ce fut une véritable basse-cour dans l’appartement 503. Surtout que, au fur et à mesure que se vidaient les bouteilles, les joueurs mélangeaient les animaux et ajoutaient des mouettes, des chats, des cochons, etc.

Nul ne sait qui gagna à ce petit jeu, mais toujours est-il qu’il fallut bien que ce jeu prenne fin lorsque le vin vint à manquer. Oh, bien sûr, ils continuèrent un peu à jouer en terminant quelques apéritifs qui étaient encore là, mais cela ne dura plus très longtemps.

Arsène se demanda soudain où était Olaf et Gregory cria que ce serait génial de faire un cache-cache à l’envers où ils seraient trois à chercher le Comte (communément, on appelle ça une « chasse à l’homme » dans les mouvements de jeunesse, mais vous pouvez constater que la moyenne d’âge dépassait légèrement la trentaine et que donc, il fallait trouver autre chose que les noms qu’on connait). Cette idée du cache-cache récolta l’unanimité (forcément : tous bourrés, donc même combat).
House partit chercher du côté de la salle de bains, Arsène vers la cuisine et Tonks partit vers sa chambre. Nul besoin de vous dire qui gagna la partie en trouvant le Comte… vous l’aurez deviné par vous-même, il suffisait de chercher au bon endroit. Tonks retrouva donc Olaf et le déstupéfixa. Heureusement, depuis le temps qu’il était là, il avait terminé de vomir ses limaces. Comment Tonks s’y prit-elle pour que le Comte ne se posât guère trop de questions sur ce qu’il avait fait les heures précédentes ? nul ne le sait, mais toujours est-il que ce furent bientôt quatre joyeux drilles qui se retrouvèrent à porter Tonks en triomphe pour sa victoire au cache-cache (ben oui, le Comte est bon, il se joint carrément à la fête ^^).

Seulement voilà, vous l’ignorez peut-être, mais cracher des limaces, ça donne soif. Alors, Olaf voulut lancer un petit concours théâtral avec des mimes, mais ça ne fonctionna pas trop puisque les trois autres joueurs n’étaient plus en état. Tonks proposa des concours d’à-fonds de shots (boire cul sec des mini-verres d’alcool fort, pour les incultes) en série. Ce fut un concours assez mémorable qui commença par cinq verres contenant un liquide très rouge, puis sept verres contenant du vert, ensuite il y eut du bleu… puis toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Cela se termina par des à-fonds de TGVWR (tequila gin vodka whisky ricard/rhum).

Au bout d’un moment – il devait être aux environs de 5h du matin – les compères se choisirent chacun un lieu pour dormir : canapé pour Tonks (qui refusait de dormir près d’un seau de limaces), fauteuil pour Arsène, paillasson pour Olaf et baignoire pour Greg.
Le Fou finit, lui, par se réveiller alors que les autres s’endormaient à peine. Voyant que la fête semblait finie, il rentra chez lui en évitant ainsi d’avoir à répondre à des questions assez dérangeantes qui lui avaient été posées.

Les réveils se firent à des moments différents…
Le premier à émerger fut Greg. Il constata en traversant le salon que les autres dormaient encore et en profita pour choper une bouteille de whisky à peine entamée. Il poussa un peu Olaf qui grogna et sortit du 503 en s’aidant de sa canne pour ne pas trop tituber et rentra chez lui.
Puis, ce fut Arsène qui se réveilla, presque en même temps que Tonks. Ces deux-là se mirent à ranger pendant que le Comte Olaf ronflait encore (ou faisait semblant de ronfler). Bien sûr, Tonks ne voulait pas que le gentilhomme frenchy passe son temps à débarrasser et ranger tout ce qui traînait, mais elle accepta tout de même un petit coup de main pour débarrasser le plus gros.
Quand Olaf se réveilla, bizarrement, il ne restait plus grand-chose à faire. Tonks partagea avec ses deux amis le panier de petit-déjeuner qu’Arsène avait apporté, puis les deux hommes rentrèrent chez eux pour se laver et se changer (Arsène le fit, mais Olaf, on ne sait pas trop) avant de se rendre à la fac pour une réunion des professeurs.

Voilà, Abel, comment tout s’est passé. C’était Marie Patch, en direct d’en-dessous de la table du 503. J’étais là pour vous, chers auditeurs, chers téléspectateurs, chers lecteurs. J’espère que vous avez apprécié de partager ces moments avec moi ! Je vous rends l’antenne, Abel, à vous les studios !

Merci Marie Patch ! Pour un peu, on s’y serait cru !
Cette soirée avait l’air pas mal du tout !
À présent, chers auditeurs, voici la chanson « Thriller » de Michael Jackson qui restera, sans nul doute, le tube de la soirée de Tonks !

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