109, rue du Septième Art
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 Quand faut y aller, faut y aller...

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Chuck Bass
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MessageSujet: Quand faut y aller, faut y aller...   Quand faut y aller, faut y aller... EmptyMar 01 Juin 2010, 22:46

Cela faisait à présent un bon mois que Charles Bass avait quitté l'Upper East Side, le jeune homme avait tout d'abord consacré les premières semaines de son sevrage à se droguer de frivolités : sexe, alcool et dépenses outrageuses. Chuck Bass avait décidé de changer de vie, ou du moins, de changer de lieu de vie. Après quelques recherches il avait trouvé cet immeuble à la façade modeste : le 109, rue du septième art. La devanture ne payait pas de mine, le quartier n'avait rien à voir avec les banlieues chics que le jeune homme avait toujours connu : parfait! Charles Bass poserait donc ces valises dans cet immeuble, quoi qu'il en coûte, cela va de soi.

Vêtu d'un costume dernier cri aux couleurs claires, le jeune héritier descendit donc de sa limousine et fit signe à son chauffeur de disposer. Fourrant ses mains dans les poches de son pantalon, un léger sourire sadique accroché à ses lèvres, Chuck Bass se dirigea vers les portes non dorées et non automatiques de la résidence. Quelques secondes d'hésitation et le dandy inspira profondément, comme pour se donner du courage. Et il lui en faudrait apparemment: ce bâtiment ne disposait pas de portier... A l'aide d'un fin mouchoir monogrammé directement issu de la poche frontale de sa veste de costume, Chuck Bass poussa la lourde porte de l'immeuble et y pénétra non sans avoir au préalable vérifié que personne ne le suivait.

Par chance, Chuck Bass avait déjà réglé les paperasses inutiles afférentes à tout nouvel emménagement: signature du contrat de location, prise des clés, paiement de la ridicule caution. Il était donc inutile pour le jeune homme de penser à chercher le concierge, pour autant qu'il y en ai un, bien sûr. Chuck prit soin de se débarrasser de son mouchoir dans l'une des poubelles de l'entrée avant d'examiner la non splendeur des lieux. Si le marbre, les lustres et les dorures lui manquaient un peu, le jeune homme trouva le hall propre et comme il faut, il appela donc l'ascenseur et actionna la bouton "2".


- "Ding!"

Le voyage fut assez rapide et prenant soin de ne pas toucher les parois de la cabine élévatrice, Chuck ne remarqua pas les insanités gravées dans la porte de l'ascenseur. L'homme sorti rapidement de l'engin se jurant intérieurement qu'il n'y mettrait plus jamais les pieds et se lança à la recherche de l'appartement qu'il possédait à présent: le 204. Celui-ci se trouvait assez près de l'ascenseur et assez loin de la façade et donc des bruits de la rue, c'était une bonne chose. L'homme parvint à la porte de son domicile et entreprit d'insérer la clé dans la serrure quand un son tout à fait inapproprié émana de l'intérieur de "son" appartement. Des cris, ou plutôt des pleurs. Aucun doute il s'agissait d'un enfant en bas âge. Chuck serra les dents et ouvrit la porte à la volée comme pour chasser tout intrus indésirable. Se pouvait-il qu'il ait signé pour une collocation?
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MessageSujet: Re: Quand faut y aller, faut y aller...   Quand faut y aller, faut y aller... EmptyMer 02 Juin 2010, 19:05

Fin janvier, les jumeaux avaient maintenant trois semaines, et Kate s'en sortait relativement bien avec eux. Tout est dans le "relativement", cependant. Effectivement, mère célibataire -ou plutôt mère veuve- avec une paire de bébés sur les bras ce n'était pas de tout repos... Heureusement, la veille, elle avait reçu un avis du concierge dans sa boîte aux lettres, il lui proposait un colocataire. La solitude commençait à la tuer, et c'était plutôt une bonne chose de vivre avec quelqu'un. Et peut-être même qu'avec un peu de chance, il ou elle aimerait les enfants. Dans ce cas là, elle lui serait d'un secours extrême. Enfin bon, il ne fallait quand même pas trop en demander... D'ailleurs le concierge n'avait même pas précisé le nom de la personne, ni si c'était une femme ou un homme, son âge et sa situation étaient totalement inconnus à Kate. Elle avait tout de même rangé un minimum l'appartement avant l'arrivée du coloc en question, qui était prévu pour aujourd'hui, au cas où elle tomberait sur un maniaque obsessionnel du rangement et de la propreté. Enfin, "rangé" était un bien grand mot, elle avait tout au plus ramassé les affaires qui trainaient, fait la vaisselle et libéré la deuxième chambre...

Cette journée était très mal partie dès son commencement, c'est à dire... En fait les journées ne commençaient pas étant donné qu'il y avait un réveil toutes les deux heures, la nuit et la journée étaient confuses... Enfin, à huit heures, ne parvenant plus à se rendormir malgré sa fatigue, Kate se leva et se dirigea vers la salle de bain dans l'espoir qu'une bonne douche achève de la sortir de son demi-sommeil. Elle laissa les deux petits dormir dans leurs couffins et se décontracta quelques minutes sous un filet d'eau agréable. Oui, seulement quelques minutes... Un braillement la sortit de sa séance de relaxation. Avec un soupir d'agacement, elle s'enveloppa dans une serviette épaisse et sortit de la baignoire, encore toute dégoulinante. Elle se sécha très rapidement et enfila un jean et une chemise blanche légèrement décolletée. Une fois habillée, elle retourna dans la chambre. Apparemment le premier qui avait pleuré, avait réveillé l'autre, car maintenant, les deux jumeaux hurlaient. Exaspérée, elle prit Alban dans ses bras, c'était lui qui semblait le moins énervé, et le dernier qui avait tété. Après l'avoir promené quelques secondes dans ses bras et une fois qu'il s'était calmé, elle l'attacha dans le doomoo, lui donna un hochet, et revint dans la chambre pour s'occuper d'Ambre qui pleurnichait toujours. Elle avait faim sans aucun doute. Kate la prit dans ses bras et détacha son soutien-gorge d'allaitement pour nourrir la petite fille. Elle s'assit sur le canapé, et encore une fois, elle fût interrompue au bout de quelques minutes par son fils qui se remit à brailler sans aucune raison apparente. A bout de nerfs, elle s'apprêtait à le prendre dans l'autre bras quand elle entendis le cliquetis des clés dans la serrure de l'appartement.

Elle sursauta et son regard tomba sur la grande horloge de la salle à manger qui indiquait 8h15. Était-il possible que le colocataire arrive à cette heure matinale? Elle se leva et se dirigea vers la porte d'entrée, Ambre dans ses bras. Elle arriva en même temps que son coloc' qu'elle toisa un quart de seconde pour s'en faire une idée. En effet, la première vision qu'on a des gens est très importante pour la suite. Le premier mot qui lui vint pour qualifier l'homme était "Dandy". Classe, élégant, raffiné... Que des adjectifs lui convenant parfaitement. Et il semblait avoir des goûts de luxe. Un costard blanc très chic, un petit air supérieur mais un joli visage malgré tout. La jeune maman lui adressa un sourire, qu'il ne lui renvoya pas immédiatement. Il semblait un peu coincé et agacé dès le début par les cris de Alban. Gênée, elle fit les présentations rapidement.


- Bonjour, entrez entrez, je suis désolée j'ai les mains prises... Moi c'est Kate ! Enchantée.


Toujours avec le sourire, elle s'écarta pour le laisser entrer avec sa petite valise, et après avoir fermé la porte d'un coup de hanche, elle retourna dans le salon et ramassa le jouet d'Alban qui se tût aussitôt. Qu'est ce qu'un gosse peut être docile... Quand on sait pourquoi il pleure.
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Chuck Bass
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MessageSujet: Re: Quand faut y aller, faut y aller...   Quand faut y aller, faut y aller... EmptyMer 02 Juin 2010, 20:27

Gardant sa constance naturelle, le jeune Bass découvrit le visage de la dame qui semblait habiter "chez lui". Ses sens ne l'avaient en effet pas trahi, il y avait bien quelqu'un derrière la porte de l'appartement qui était supposé être vide. Lorsque la porte s'ouvrit sur la jeune personne, il fallut quelques secondes au ténébreux personnage pour comprendre qu'il avait du se méprendre: la demoiselle semblait au courant de sa venue. Cela voulait donc dire qu'il avait bel et bien signé pour une collocation. Le réalisant, Charles se jura qu'il ne signerait plus jamais rien après avoir bu plusieurs bouteilles de vieux malt... Chuck fit une moue caractéristique, l'une de celle qui signifient "il y a du louche la dessous". Mais, curieusement, le jeune homme ne s'enfuit pas en courant face à la demoiselle et à l'enfant gigotant qu'elle transportait juché sur sa hanche. Au contraire, un sourcil levé et un sourire un peu grivois accroché aux lèvres, l'ancien upper eastsider gratifia la demoiselle d'un distingué:

-"C'est un plaisir Kate..."

Le regard retors du dandy ne put s'empêcher d'aller faire un tour sur le décolleté de la jeune femme qui était assez débraillée. Charles remarqua en effet que Kate portait une tunique large et très échancrée, ce vêtement en plus d'être sexy devait sans doute avoir également une finalité pratique: Kate était donc mère et pas seulement baby-sitter. Chuck repoussa les images graveleuses qui vinrent danser dans son subconscient et poursuivit:

-"Je suis Charles, Charles Bass. Mais vous pouvez m'appeler Chuck. C'est un minimum puisque apparemment nous sommes à présent colocataires."

Charles Bass était un pervers, accroc à la luxure et aux aventures sans lendemain. Aussi, il aurait pu prendre ses jambes à son cou face à cette mère apparemment célibataire, son bébé et le petit appartement au confort sommaire. Mais une lumière s'alluma dans le cerveau du jeune milliardaire : et si cette jeune fille, Kate, cet appartement et cet immeuble était la combinaison idéale pour refaire sa vie? Chuck décida de laisser une chance à cette idée et au joli minois de sa nouvelle colocataire à qui il décocha un second sourire.

-"Je n'ai apporté qu'une seule valise, le strict minimum pour l'instant. Pourriez-vous me montrer ma chambre?"

C'était une politesse un peu superflue, l'appartement était assez petit et Bass assez intelligent pour trouver sa pièce privée, mais il tenait à être gentil. Et puis, après tout, il l'était toujours avec les jolies filles. Un enfant, ce serait nouveau pour lui, mais il devait bien évoluer un peu, les lycéennes il en avait soupé.

Resserrant ses doigts autour de la anse de son bagage, Chuck observa la demoiselle. Allait-elle le conduire à sa chambre? Il ne put s'empêcher de remarquer que Kate avait de jolis yeux et de beaux cheveux bruns, Chuck aimait les brunes. Enfin, il aimait toutes les femmes mais les brunes encore davantage. Il émanait du visage de Kate une douceur qui rassura celui qui venait bousculer l'équilibre d'un foyer déjà formé. Pour s'assurer du support de la demoiselle, Charles décida de gagner des points:


-"Je pense aller faire quelques emplettes dès demain pour aménager quelque peu mon espace. Est-ce que cela te plairait de m'accompagner?"

Charles ne savait comment expliquer qu'il aurait voulu repenser et redécorer l'entièreté de l'appartement à ses frais et avec l'aide de Kate. Il savait que les filles aiment le shopping et donc, espérait qu'il en soit autant pour la jeune maman.

A ce stade, Bass n'avait pas encore laissé son regard se balader ailleurs qu'aux alentours du corps de la jeune mère. Se forçant à détacher ses yeux de l'endroit où ils se plaisaient le plus, Charles inspecta les lieux plus en détail: l'appartement était petit mais propre. A l'évidence, il avait été rangé en prévision de sa venue, ce qui prouvait que la demoiselle avait un minimum de respect pour lui, pour l'instant du moins. Ce n'est qu'après avoir examiné l'évier, la table de salle à manger et le sofa que Chuck découvrit une chose à laquelle il ne s'attendait absolument pas: un deuxième enfant, un deuxième bébé, des jumeaux. Ravalant sa salive, Chuck ne trouva rien à dire face à cette découverte et se décida à focaliser son attention sur les yeux de Kate, eux au moins, ils étaient rassurants...
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MessageSujet: Re: Quand faut y aller, faut y aller...   Quand faut y aller, faut y aller... EmptyMer 30 Juin 2010, 15:25

Plantée devant la porte, avec sa gamine qui gigotait dans les bras, Kate toisa son colocataire. Elle était incapable d'attribuer un âge à une personne à moins de 10 ans près, mais au premier abord il était relativement jeune. Autre chose attira l'attention de la jeune mère, Chuck, puisque c'est ainsi qu'il voulait qu'elle le nomme, semblait très gêné. Comme si il ne s'attendait pas à ce qu'il y ait quelqu'un dans l'appartement. Situation délicate, en effet, qu'elle décida d'ignorer. Le jeune homme quand à lui n'ignora pas la tenue de Kate, qui était assez explicite sur son rôle de mère. Elle ne s'était même pas posé la question si cet homme qui allait vivre avec elle appréciait ou du moins supportait les enfants. Le regard, et le sourire-grimace qu'il adressa à la petite fille lui indiquèrent que c'était limite. Tant pis pour lui, il devrait s'y faire...
Il était d'une élégance, d'une distinction... Comme dans les vieux films Américains. Elle hésitait un peu à le tutoyer... Et opta pour le vouvoiement jusqu'à nouvel ordre.


- Bien sûr, suivez moi !

Dans le salon, il se figea en voyant Alban dans le doomoo. Apparemment il n'avait pas encore capté qu'il y avait deux enfants dans l'appartement. Le pauvre... Il rougit, et sourit à la maman pour ne pas laisser transparaître son inquiétude. Elle lui rendit son sourire. Adorable comme tout, il lui proposa même de sortir faire les boutiques le lendemain. Excellente idée, pour Kate qui n'avait presque pas pris l'air depuis des mois. L'idée lui plût tout de suite.

- C'est une excellente idée Chuck, ça me ferait vraiment du bien de bouger un peu et cet appartement est... -Elle balaya la pièce du regard- un peu terne. Il mérite en effet une nouvelle décoration. Je me ferais un plaisir de venir avec vous.

D'un regard, elle invita son coloc à la suivre et traversa le couloir jusqu'à la chambre du bout, qui était celle de Chuck. Elle s'écarta pour le laisser entrer dans la pièce qui lui était réservée. Elle était lumineuse et claire, propre et droite, à l'image de celui qui allait y vivre. Chuck posa sa valise, qui était en effet minuscule, à côté du lit.
Pendant ce temps, elle retourna dans le salon et posa sa fille qui commençait à somnoler à côté de son frère. Au moins ils étaient calmes.
D'ailleurs, le nouveau venu avait peut-être fait une longue route... Elle l'interpella de l'autre bout de l'appartement.


- Je vous sert quelque chose à boire Chuck ?

Dans la cuisine, elle ouvrit un placard : il y avait quelques alcools, très peu, du sirop et deux jus de fruits au frais si sa mémoire était bonne.
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MessageSujet: Re: Quand faut y aller, faut y aller...   Quand faut y aller, faut y aller... EmptyMar 27 Juil 2010, 19:45

Sans se faire prier Chuck suivit la jeune mère à travers leur appartement. Pendant ce voyage très court, le jeune Bass examina chaque détail des lieux: l'habitation était coquette, propre et en ordre. Bien entendu, cela ne convenait pas au jeune milliardaire qui aurait préféré un ascenseur privatif, un bar en onyx et quelques tableaux New Age pour requinquer les lieux et s'y sentir vraiment chez lui. Chuck avait en effet vécu toute sa vie au Palace Hotel, cet appartement était donc une première pour lui, une première expérience de vie dans un espace minuscule, et dépourvu du moindre luxe.

Charles adressa un sourire poli à sa logeuse lorsqu'elle accepta sa proposition de shopping. Bien sûr, il était convaincu que cette offre plaise à Kate, c'était bien connu, aucune femme, quelle que soit sa condition ne refusait un moment de shopping en compagnie d'un milliardaire à l'allure soignée.

Intérieurement, le jeune dandy se demandait combien de temps il pourrait tenir dans un endroit si petit avant de devenir fou. Par chance, son esprit retors n'eut pas le temps de trouver une réponse raisonnable, Kate venait en effet de rompre le silence et lui proposait une boisson, enfin une bonne idée. Charles qui venait de pénétrer dans sa pièce privative répondit à sa colocataire d'une voix forte prouvant qu'il n'avait jamais, au grand jamais vécu avec des enfants en bas âge. Son ton élevé aurait en effet affolé n'importe quel bambin normalement constitué.


-"Je prendrai un scotch sec, merci"

Lorsqu'on a l'habitude des grands hôtels, des restaurants chics et des vacances au Malouines, on apprend rapidement à commander les autres et Charles Bass ne faisait pas exception à la règle. Sans s'en rendre compte, il venait en effet de s'adresser à sa colocataire comme s'il s'agissait d'une domestique ou d'une quelconque serveuse. Le jeune homme ne remarqua cependant pas ce deuxième impair, il était en effet aux prises avec son "lui" intérieur qui lui recommandait de prendre ses jambes à son cou en claquant les portes et d'aller louer une suite dans le premier quatre étoiles qu'il croiserait...

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