Nouvelle maison, nouveaux voisins. Nouvelle vie ?

Un sac à dos. Voilà tout ce qu'avait Haruhi. Un sac à dos. Deux trois habits. Deux livres. Un album photo. Un cahier. Et de l'argent. Beaucoup d'argent. Elle ne dépensait jamais rien. Elle avait donc énormément d'économies. Bien sûr, elle avait été un peu perdante au change, des Yens contre des Dollars. Bien sûr, on tentait de la rouler à cause de son américain approximatif. Mais son fort caractère se doublait d'un sixième sens pour détecter ceux qui essayaient de l'avoir, elle avait donc évité beaucoup d'arnaques.
-Tadaima...
Bien sûr, personne ne répondit. Tout d'abord parce qu'on l'avait informée que son colocataire était sorti, qu'il reviendrait bientôt, mais ensuite parce qu'il y avait peut de chance que le-dit colocataire parle japonais.
*Qu'est-ce que je fous ici, moi ? C'était stupide de fuguer... Je connais personne et mon anglais est catastrophique. Mais bon, ils voulaient me mettre dans une école spéciale. Pourquoi ? Juste à cause d'un malheureux club ? C'est se foutre du monde, ça. Juste parce que je crois en d'autres formes de vie. Qu'ils aillent se faire [Voulant éviter de choquer nos plus jeunes lecteurs, le reste des pensées vulgaires d'Haruhi sera censuré.]*
Haruhi ne visita pas vraiment. Elle jeta son sac par terre, se déchaussant. Son portable se mit à sonner. Elle le sortit de sa poche, et regarda qui l'appelait, bien qu'elle le sache déjà. "Kyon", indiquait le portable. Depuis son départ, quinze jours auparavant, il l'appelait tous les jours. Elle hésita, puis raccrocha. C'était injuste de sa part de ne pas avoir prévenu Kyon de son départ, mais elle n'avait pas le courage de lui faire face. Sa boîte vocale signala un nouveau message. Elle l'écouta.
"Haruhi, c'est Kyon. Enfin, tu dois le savoir puisque tu me raccroches toujours au nez. J'aimerais savoir où tu es. Il y en a qui disent que tu as déménagé, mais ça ne peut pas être vrai. Tu nous auras prévenus, pas vrai ? Et le club ? Je sais que le départ soudain de Mikuru, de Koizumi et de Nagato est surprenant. Moi aussi je suis triste de ne plus les voir. Mais il faudrait que tu revienne en cours, s'il te plaît. Haruhi, rappelle moi, s'il te plaît."
C'était dur, d'entendre un message comme ça. Haruhi ne voulait pas déménager. Et, en temps normal, elle aurait prévenu tout le monde. Mais voilà, tout le monde en question s'était tiré, barré, disparus comme ils étaient arrivés. Il ne lui restait plus que Kyon. Et elle ne voulait pas lui faire plus de mal, et donc elle ne volait pas lui dire qu'elle partait.
-Gomen... Excuse moi, Kyon.
Elle essuya vigoureusement la seule larme qui avait échappé à sa vigilance, rangea le téléphone et se mit à la fenêtre, rêvassant en fixant les nuages, à la recherche d'un ovni.

C'est pas toujours facile de débarquer quelque part sans repères ni idées d'où on doit aller. Chouchou en savait quelque chose, on pouvait même dire qu'il y était habitué. Lorsqu'il était arrivé en France un peu plus d'un an auparavant, s'installer n'avait pas été de tout repos. S'il n'avait pas rencontrer le père Léon qui avait accepté de l'héberger sans rien connaître de lui, il se serait retrouvé dans la rue... Ou obligé de quémander un toit auprès de son propre neveu, et ça c'était hors de question.

Il avait réussi à se débrouiller une fois, alors pourquoi pas deux? C'était ce qu'il c'était dit en changeant de décor... Malheureusement, les États Unis n'avaient rien avoir avec Paris, avec la France qu'il avait habité à l'époque. Tout était plus grand, plus impressionnant, mais aussi plus bizarre. C'était pas la même mentalité. Et fallait pas être installé depuis des années pour s'en apercevoir. Sachant qu'il ne parlait pas beaucoup mieux anglais que français, se faire comprendre sans être regardé de haut comme un drôle d'oiseau sortit d'on ne sait où ( ce qu'il était bel et bien) était une tâche délicate. On se demandait ou les gens pouvaient bien se rendre à 14H30 en étant aussi presser. Trop en tout cas pour daigner s'arrêter une seconde pour indiquer le chemin à un inconnu.

En fin d'après midi, il cherchait toujours... « 109 rue du 7eme art ». Ce français employé en pleine Amérique profonde le faisait sourire. Ça devait pas être un nom bien courant pourtant! Cette fois ci, il ne c'était pas déguisé. Pas de poncho, de bonnet multicolore ou de bijoux fantaisies bizarres. Il était juste habillé pour un jour normale. Comme pour une simple balade dans Paris, sauf que présentement, il s'encombrait de deux énormes sacs de voyage qui lui déchiraient les épaules et d'une valise visiblement pleine à craquer. C'était peut être ça qui lui attirait tout ces petit regards en biais. Il était tout simplement lui. Habillé d'un ensemble bleu; survêtement, pantalon serré, basket et arborait une coiffure impeccable. Dans une description aussi brève on ne voit pas où est le problème bien sur. Et Chouchou lui même n'était pas sûr de voir où il était ce fichu problème.

Il finit tout de même par arriver à destination, presque par hasard. Tombant sur le panneau indiquant la rue en se détournant d'une petite boutique sympa qu'il avait aperçu. Le 109 n'était pas le plus grand immeuble de la rue, pas la plus beau, pas le plus impressionnant, mais sans savoir vraiment pourquoi, Chouchou l'apprécia au premier coup d'œil. Pour la première fois depuis son premier pas sur le sol américain, il se disait que partir n'avait pas été une si mauvaise idée que ça. Que peut être il
serait bien là où il allait.

Enfin installé dans ce qui se révéla être un apart' tout à fait charmant, il c'était préparé à passer une soirée pépère, à essayer les crèmes de soin qu'il avait trouvé en venant.... Avants de se rappeler que le réfrigérateur et les placards de la petite cuisine étaient vides. Alors... laisser ça comme ça jusqu'au lendemain et s'endormir le ventre vide ou... reeeeeeeedescendre chercher de quoi grailler quelque chose? …..... Bon très bien... heureusement qu'il n'était pas bien paresseux.

Il revient donc 20 minutes plus tard, plus fatigué encore et à peine moins chargé que lorsqu'il était arriver. Bien oui, autant faire le plein de bonnes choses! Mais lui n'était vraiment pas taillé pour porter des choses aussi lourdes. Alors seulement, le concierge l'informa en le voyant passer, que sa colocataire était arrivé quelques instants avants lui.

Colocataire?

Il avait complètement oublié...
Pourtant il avait lui même demander à partager la colocation d'un appartement avec quelqu'un. (Pour des raisons financières évidentes à ses yeux). Par contre il n'avait
aucune idée de quel genre de femme cela pouvait être. La seule chose qu'il savait c'est que c'était justement une femme. Il prit l'ascenseur jusqu'au 4eme étage. Saluant les gens qu'il croisait d'une voix plus forte et enjouée que nécessaire, puis il arriva au niveau du numéro 405...
La porte était ouverte.

Il passa la tête à travers l'ouverture et vit en fond de pièce une personne accoudé à la fenêtre. De dos il ne risquait pas d'en apprendre grand chose, mais ce qui l'étonna c'est qu'elle semblait jeune. A sa taille d'abord, puis à ses vêtement.. Il hésita et entra. Ce n'était surement pas elle. Enfin... si peut être bien après tout. Sans même prendre conscience du fait qu'il s'approchait sans faire le moindre bruit, il informa la jeune fille de sa présence à à peine quelques pas derrière elle, toujours sacs de course en main.

"-Ho, scuzez moi, mademoiselle, vous êtes l'autre qui va habite ici? "

Il avait la voix hésitante et ponctuée un accent à couper au couteau.

Bah oui, La demoiselle ne devait pas avoir plus de 18 ans, si ce n'était pas moins. Mais l'étrangeté de la situation ne sema pas bien longtemps le trouble dans son esprit. C'était une petite brune aux yeux noisette, plutôt mignonne, les cheveux mi-long coiffées d'un ruban (Le genre de chose qu'aurais bien voulu porté Chouchou quand il était plus jeune... Et s'il avait eu plus de cheveux sur la tête.) Il sursauta en même temps que la jeune fille, portant une main engourdie par le poids des sacs à son cœur.
- Houla! Faut pas crier comme ça, j'vais attraper une crise cardiaque.
C'était idiot, mais il était comme ça, faut pas le surprendre non plus... Même si c'est lui qui a commencé. Après quelques seconde de récupérations pour chacun, la jeune fille lui demanda qu'il il était. Chouchou nota d'ailleurs qu'il n'avait comprit que le fin de la phrase. Visiblement elle non plus n'était pas d'ici. Cela le fit une nouvelle fois hausser les sourcil puis rire discrètement. Si tout les deux parlaient aussi bien anglais l'un que l'autre, avoir de vraie conversation risquait d'être compliqué. mais au moins il ne risquait pas de se sentir gêné par la tournure bancale de ses phrases.

Avants même qu'il n'ai pu rouvrir la bouche pour se présenter sa colocataire prit les devants. "...Je m'appelle Haruhi Suzumiya..."
Pause, pause! Non elle était pas du coin.
- Ton prénom c'est tout ça ou... t'en as un, un peu plus court?" Nouveau grand sourire, un peu gêné cette fois.

Se souvenant que ses bras commençaient sérieusement à lui faire mal, il tourna les talons pour déposer ce qu'il était aller acheter sur la petite table qui trônait dans le coin salle à manger. L'autre, d'on il ne se souvenait déjà pas exactement le nom le suivit, avec d'autre questions.
Japonaise hein? C'était un pays où Choucou avait toujours eu envi d'aller, rien que pour ce qu'on pouvait trouver dans les boutiques.

- Ah? Moi je suis arrivé que il n'y a pas longtemps - de Paris, Il prit même le soin de rajouter un plus ou moins utile « En France. » au cas ou la demoiselle ne sache pas où Paris se trouve peu être... j'm'appelle Chouchou. Enfin Choukri, mais tout le monde m'appelle Chouchou. Tout le monde c'était vite dit. En fait personne ne l'avait appeler comme ça depuis deux jour. S'entendre dire son nom complet était presque bizarre, tant il était habitué à son surnom. T'as faim? Bah ça tombe plutôt bien; J'adooooore cuisiner! Mais si tu viens d'arriver, t'as pas de l'aide pour que tu t'installe? Il demandait ça le plus aimablement du monde sans se dire une seconde que cela pouvait être gênant pour une fille de cet âge de répondre positivement à un type d'une trentaine d'année qu'elle ne connaissait pas. Mais on ne peut pas vraiment dire que c'est comme ça qu'il se voit, pas vrai?

Pendant un court instant Chouchou resta la bouche entrouverte sans oser en placer une, tant le jeune fille en face de lui parlait vite. Elle avait un sourire un peu étrange, un peu triste même mais pour le moment il n'y fit pas grandement attention ou du moins il n'en eu pas le temps car il disparu aussi vite qu'il était venu. Il essaya de poser quelques questions, un peu étonné du petit monologue qui lui était donné. Partir de Zéro ça voulait dire quoi? Mais non, il connait l'expression bien sûr mais pour une demoiselle fraichement débarqué d'un loooiiintain pays ça signifiait quoi? Il étouffa un "voui' d'un rire léger au "capital de la cuisine" "Nan, c'est la capitale de la France."

Il voulu enfin répondre tout sourire avant de remarquer le regard particulier qui venait à peiner d'apparaitre sur le visage d'Haruhi (ou Harui? Comment ça pouvais bien s'écrire cette affaire là?) Vous savez ce genre de regard qui met un peu mal à l'aise et sur certaines personne ne présage rien de bon.
"Parfait. Faîtes donc à manger. Je veux quelque chose avec du jambon. Et je mange les légumes sans sauce. Je veux bien mettre le couvert mais je ne fais pas la vaisselle. Je ferais le ménage. Si jamais vous voyez un extraterrestre, empêchez le de fuir et venez me chercher. Immédiatement."
Haussant un peu plus les sourcils à mesure qu'elle parlait il resta à nouveau silencieux. Il était tomber sur quelqu'un avec un sacré caractère. La cuisine c'était une évidence qu'il en faisait son affaire, il avait ces petites habitudes après tout mais qu'une gamine qu'il venait de rencontrer le lui demande comme ça le laissait un peu pantois. Pas en colère ni même vexé, juste un peu étonné d'une telle assurance. Puis elle voulais dire quoi par extraterrestre? C'était une façon de parler de chez elle?

-Heuu ben d'accord, si ça fait plaisir... dit t'il d'un haussement d'épaule, notant dans sa tête tout ce qui venait de lui être commandé. Puis il posa enfin sa question.

-Dis... En voulant pas trop être discret, Quel âge tu as?

17 ans... 17 ans... 17 ans?? Cette fille était mineur? Tien, Chouchou n'avait pourtant vu personne d'autre ici. Mais cette fille ne pouvait pas être là toute seule, a moins qu'il ait loupé autre chose d'important.
Il jeta vivement un regard autour de lui comme qu'il s'attendait à remarquer une présence quelconque qui lui aurait échappé. Non, il ni avait qu'eux. Eux et quelques bagages qui trainaient encore un peu partout dans la pièce.
Chouchou était quelqu'un de curieux de nature mais il n'aimait pas pour autant se mêler des affaires des autres, surtout quand il était évident que l'autre n'avait pas forcément envie de raconter sa vie. Ce qui semblait être le cas ici. Sauf qu'ici il y avait quand même quelque chose qui clochait.
Vaguement il acquiesça quand la jeune fille lui donna un âge. Il avait 32 ans pour être exacte mais bon...
Elle avait des manière d'adolescente, c'était plutôt mignon en faite. Il voulu parler mais un téléphone sonna. Le sien; auquel elle ne répondit pas. Curieux... c'était peut être important. Encore une fois, il voulu en faire la remarque mais Harumi enchaina avec un monologue truffé de questions auxquelles Chouchou ne pu répondre que d'une petite voix. C'est qu'elle parlait vite et l'accent n'arrangeait rien. A cet instant il hésitait entre éclaté de rire en imaginant la tête qu'il devait avoir ou se permettre de lui demander de répéter.

- Non... Ah... heu... sais pas trop...
"Un tueur en série psychopathe"? Cette fois la formule le fit rire.
-Non non, moi chuis un gentil." Avants qu'elle ne continue il haussa légèrement le ton pour placer une nouvelle question.
-Dis-moi, hum... tu es avec quelqu'un ici ou tu es venue toute seule?

Remarque maintenant qu'il y pensait.. C'était peut être pas si bizarre que ça comme histoire... Si ça se trouve on est majeure à 17 ans au Japon... Ou peut être qu'il est d'usage que les ados aillent vivre ailleurs à un certaine âge... Pourquoi pas?

[JE suis vraiment vraiment vraiment désolée d'avoir mis tant de temps ! Excuse moi ! ]
Ce n'était pas bon, cette question. Mais Haruhi ne pouvait pas délibérément l'éviter, après tout elle allait vivre avec Chouchou désormais.
-Vous êtes un gentil ? C'est une bonne nouvelle alors, ça ! C'est chic chic chic ! Parce que si vous étiez fou, moi je connais des prises de catch qui vous auraient flanqué à terre en un rien de temps.
Elle ferma les yeux et prit une grande inspiration, puis tenta d'utiliser le ton le plus anodin possible
-Je suis une grande fille. Je suis capable de choisir ma vie seule. Mes parents ont voulu me forcer à faire des choix que je n'acceptais pas, et ils en ont fait un sans me consulter et qui m'a suffisamment pourri la vie. Donc maintenant j'ai décidé de faire cavalier seul. Je suis assez mature pour survivre sans leur aide ! J'ai pas besoin d'eux de toute façon. Et vous, Chouchou-san, vous avez une copine ? Non, je ne pense pas. Vous ne vivriez pas en colocation sinon. Oubliez donc ma question. Anata wa furancesujin, ne ? Euh, excusez moi. Vous êtes français, vous m'avez dit ? Votre anglais est très très bon ! Vous avez un boulot ici ?
LA vie continuait son cours après tout. Haruhi allait désormais vivre avec Chouchou, elle allait réapprendre une nouvelle façon de vivre et de considérer les gens. Mais elle resterait elle-même quoiqu'il arrive, guettant la moindre présence d'OVNI dans le ciel, cherchant parmi les geek ceux qui pourraient être des aliens, parmi ceux qui étaient prévoyant des voyageurs temporels. Un jour, peut-être, Haruhi deviendrait une jeune flle normal, mais pour l'instant il était hors de question de redevenir banale et de ne pas se faire remarquer par les extraterrestres.
Haruhi changerait, mais elle refusera de devenir quelqu'un d'autre.

Spoiler:

Spoiler:

-Non non, ce n'est pas moi qui risquerait de te faire du mal.
Dit chouchou avec un léger rire forcé. N'empêche, si ça, ce n'était pas éviter une question, lui ne s'y connaissait plus.
ça sentait la fugue à plein nez mais son interlocutrice ne ce serait jamais retrouvée jusqu'en Amérique si elle n'en avait pas eu le pouvoir... Pas vrai?
Comme précédemment ce ne fut qu'à la fin d'un flot d'explications posées à vitesse grand V que Chouchou put répondre. Il leva une main pour clore le sujet précédent. Plus de questions à poser, parce que après tout, chacun a ses petits secrets non? Il ne tenait pas non plus à ce fâcher avec le personne avec qui il allait habiter et puis...

- Moi tant que ça me cause pas de soucis ça va... soupira t'il avec son accent à couper au couteau.
Alors, il fallait répondre aux questions dans l'ordre maintenant non? Sympa la première pour le trentenaire. Il resta un moment en suspend réfléchissant à ses mots et se contenta finalement d'un "NNNNon... je suis tout seul." Héhé, lui aussi avait ces secrets. En tout cas jusqu'à ce qu'il sache s'il était ici autoriser à être ce ce que bon lui semblait. Il verra cela en temps voulu... Ah tien d'ailleurs... Il n'était pas aller vérifier que ces précieuses affaires soit intactes après le voyage...
-Moui mais je suis marocain à la base... mais j'ai habité longtemps en France. Eeettt non, je n'ai pas encore de travail, je suis arrivé que aujourd'hui.

Ah tien voila encore un détail qui le gênait. Dès demain il faudra absolument qu'il pense à jeter un coup d'œil aux petites annonces.. Il devait rapidement se trouver un boulot. Ici le loyer n'était pas excessif mais il ne pouvait pas resté à la maison à ne rien faire.

-Bon ben je vais préparer quelque chose... j'ai une faim de loup garou moi... Tu devrais commencer à ranger tes affaires... Ah et prends la chambre que tu veux. Elles ont presque la même taille de toute façon.

Il songeait aussi qu'il faudrait aborder une discution sur les "règles" à établir pour la colocation... C'était un conseil que frère Jean lui avait donné à son départ... Bon alors sinon... Que pourrait-il préparer pour deux personnes avec le peu qu'il avait acheté?