109, rue du Septième Art
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 S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K]

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MessageSujet: S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K]   S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K] EmptyLun 07 Juin 2010, 00:05

L'appartement que Miles occupait était immense. C'était un homme qui appréciait beaucoup le luxe et l'espace, mais il fallait reconnaître qu'il avait visé un peu trop grand. Même Pesu, son chien, un golden Retriever fort bien dressé, avait beaucoup d'espace. Alors le juge avait pris une décision que, au moment même où il l'avait prise, il regrettait déjà. Cette décision était d'accepter un colocataire.
Phoenix, le meilleur ami de Miles, lui reprochait souvent d'être renfermé sur lui, de ne rien laisser paraître, d'être parfois brusque dans ses réactions et d'envoyer des répliques mordantes au pauvre innocent qui tentait de discuter gentiment avec lui. Il ne se confiait jamais à quiconque, et rares étaient les personnes à qui il accordait sa confiance. Et mis à part ses amis (qu'il ne voyait plus malheureusement), et son chien...il n'y avait personne.

Prendre un coloc, c'était assez extrême. Mais le célibat et la solitude ne concourraient pas à l'équilibre personnel et à la saine tranquillité de l'esprit. Or, pour l'exercice de son métier, il en avait fortement besoin. D'où le fait qu'il eut décidé, sur un coup de tête, il faut bien l'admettre, de laisser une annonce (par agence et dans le hall de l'immeuble), de laisser la moitié de la superficie de son appartement à une personne qui souhaitait partager vie et loyer. Bien sûr, il avait émis certaines conditions. Mais on ne savait jamais sur qui on tombait, malgré toutes les précautions qu'on pouvait bien prendre.

Et ce colocataire, il allait en faire la connaissance aujourd'hui. Il avait eu un message sur son téléphone, l'autre jour. A la première écoute, l'homme lui semblait de bonne éducation, parlait avec élégance. Il disait vouloir vite emménager. Miles avait indiqué une date de prise de possession des lieux où il pouvait être présent. Et c'est avec appréhension qu'il attendait qu'on sonne à la porte de l'appartement n°102.


Dernière édition par Miles Edgeworth le Lun 07 Juin 2010, 10:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K]   S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K] EmptyLun 07 Juin 2010, 03:59

Jackson Rippner, né le 26 mai 1976 à San Diego, Californie. Fils de James Rippner et de Rita-Mae Swinburne, ex-épouse Rippner, ex-épouse Sainclair. Demi-frère de James Rippner Jr, 19 ans, et de Jezebel Sainclair, 17 ans. Diplômé de la fac de droit de San Francisco, 1999. Jackson Rippner...

Dammit !!!

Jackson donna un grand coup sur le volant, rageur, et y appuya son front, fermant les yeux. ça. N'allait. Pas. Il avait beau faire des efforts, encore et encore, relire ces mots jusqu'à en avoir mal à la tête et la nausée, ils n'évoquaient strictement rien, n'éveillaient aucun souvenir dans sa mémoire désespérément vide. Même les photos le laissaient de marbre. Bon Dieu ! C'est gens-là étaient censés être sa famille, des gens qui, de près ou de loin, avaient compté pour lui ! Seule l'image de Jezebel semblait réveiller quelque chose - quelque chose de fugitif, d'insaisissable, pas vraiment un souvenir, plus une sorte d'impression. Mais le reste...

Il prit une grande inspiration et releva la tête. Il y avait une bonne demi-heure qu'il était garé sur cette aire de repos, à environ un quart d'heure de la ville dans laquelle il avait choisi d'emménager. Recommencer une nouvelle vie. Repartir à zéro. Un des conseils de son psy qui lui avait recommandé de ne pas trop chercher à en savoir sur son ancienne vie. Quand Jackson lisait son dossier, il était chaque fois aussi stupéfait de voir quel genre de personne il était. Avant. Avant ce passage à tabac dont il ne se souvenait pas, avant ce complot dont il ne gardait aucun souvenir mais qui lui avait valu cette cicatrice à la gorge et celles de balles sur le torse.

Il y avait quelque chose d'infiniment, de profondément angoissant à se réveiller le matin sans savoir qui il était. Il savait que son nom était Jackson Rippner, et pourtant ces deux mots n'éveillaient en lui aucune reconnaissance. On lui aurait dit qu'il s'appelait Abraham Lincoln, Jack the Ripper ou Patrick Braden, que l'effet aurait été le même. Jackson se souvenait de choses qu'il avait apprises, des dates, des noms, des évènements, tout ce qui tenait à son diplôme de droit. Tout ce qui tenait de la culture acquise, de l'éducation, oui, tout cela, il s'en souvenait. Mais il ne gardait aucun souvenir personnel. Rien qui se rattachât à son passé, à sa vie. Qu'aimait-il ? Que détestait-il ? Avait-il été populaire au lycée, ou bien était-il au contraire du genre renfermé ? Avait-il partagé des choses avec son père ? Son frère ? Sa mère était-elle du genre protectrice ? Distante ? Et sa soeur ? Avait-il un groupe d'amis pour aller à la plage en Californie ? Qu'aimait-il manger, lire, écouter ? Qui était-il ? Autant de questions sans réponse. Et ce néant sur lequel il ouvrait les yeux chaque matin le glaçait chaque jour davantage.

Il eut un soupir et jeta un regard au GPS. Il était temps de reprendre la route. Il devait rencontrer son futur colocataire, un nommé Miles Edgeworth. Jackson avait été surpris de s'entendre adopter avec ce monsieur un ton et un vocabulaire soigneusement policés d'homme du monde - comme par réflexe. D'après son dossier, son père était un magnat de la finance californienne, sans doute avait-il grandi dans un univers qui demandait un certain savoir-vivre... Quelque part, cette découverte lui avait fait chaud au coeur. Ce n'était rien; mais c'était tout de même un repère dans son désert intime. Remettant le contact, Jackson jeta un regard à son image dans le rétroviseur et rajusta son foulard pour dissimuler la cicatrice.

L'Aston Martin DB5 de 1967 quitta la place de parking et, prenant de la vitesse, s'engagea sur l'autoroute. Jackson avait déjà pu constater, depuis qu'il avait quitté la Floride, qu'il aimait la vitesse, et cette sensation de liberté que la route procure. Un autre repère qu'il avait été heureux d'ajouter à sa liste mentale. Il s'était aperçu qu'il aimait la nuit, sans savoir pourquoi. Le luxe également - la voiture à elle seule en était une bonne preuve. Autant de détails, sans importance aux yeux des autres, mais que Jackson s'était mis à amasser pour essayer de comprendre qui il était. Comme ces photomontages, ces images composées de milliers d'autres toutes petites images.

Bientôt, il rallia la sortie d'autoroute et s'engagea sur la nationale. quelques minutes plus tard, il s'engageait sur le parking du 109, rue du Septième Art. Un immeuble de bonne venue. Jackson songea que si sa visite était concluante, l'endroit n'était pas mal pour recommencer uen vie. Il pourrait donc donner le feu vert aux livreurs pour qu'ils amènent les quelques meubles qu'il avait achetés par correspondance. Lit, bureau, bibliothèque... Il faudrait qu'il fasse un voyage jusqu'à San Diego pour déterminer ce qu'il voulait faire expédier dans ses possessions. Pour ce soir, une nuit à l'hôtel ferait l'affaire.

Jackson se gara sur la seconde place attribuée au numéro 102 et prit quelques secondes. Son regard tomba sur le dossier posé sur le siège passager et il le referma avec un soupir. Ce n'était pas le moment de se reprendre la tête avec ça. Il vérifia sa poche intérieure, où se trouvait son portefeuille, rajusta son foulard, et, rangeant le dossier dans un attaché-case qu'il rangea dans le coffre de sa voiture, se décida à pénétrer dans l'immeuble. Jetant un regard sur le papier sur lequel il avait noté les coordonnées de son interlocuteur, Jackson constata qu'il n'avait qu'un étage à monter. Il prit donc l'escalier, songeur. Une fois devant la porte de l'appartement 102, il prit le temps de se composer une attitude, avant de se décider à sonner. Quand la porte s'ouvrit, c'est tout naturellement qu'un sourire vint étirer ses lèvres tandis qu'il s'entendait prononcer :


Miles Edgeworth ? Bonjour. Je suis Jackson Rippner. Nous nous sommes parlé au téléphone il y a deux jours.
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MessageSujet: Re: S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K]   S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K] EmptyDim 13 Juin 2010, 00:11

Le nouvel arrivant sonna à sa porte avec une ponctualité tout à fait appréciable. Miles quitta alors le sofa où il était installé et se dirigea vers la porte. Il posa la main sur la poignée et hésita une petite seconde. Maintenant qu'il avait pris sa décision, cela était trop tard. Mais il espérait qu'il n'avait pas fait une grande bêtise. Cela ne servait à rien de reculer. Il tourna la poignet et c'est alors qu'il découvrit enfin celui qui avait répondu à son annonce. Jackson Rippner.

L'homme était souriant et aimable. Sa façon de parler, assez douce, confirmait ce que Miles avait ressenti lors de leur conversation téléphonique. D'un seul coup d'œil, il faisait bonne impression. Mais il fallait toujours se méfier, on ne connaissait jamais assez les gens. Or, son futur colocataire était un total inconnu, et se fier au premier regard serait une erreur. Mais Miles n'était pas quelqu'un qui se contentait des apparences. Il était trop pointilleux et trop soupçonneux pour cela.

C'est avec un léger sourire que Miles répondit à l'introduction de Jackson. Il lui tendit la main afin de la serrer.


- Bonjour, Monsieur Rippner. Donnez-vous la peine d'entrer.


Il se poussa afin de laisser à Jackson l'opportunité de pénétrer l'appartement, avant de refermer la porte derrière eux. Et il en profita pour l'observer plus amplement. Outre ses vêtements de bonne facture, il portait un fouloir autour du cou. Simple objet de mode, peut-être...Néanmoins élégant - ce n'était pas Miles qui allait le contredire sur ce point.

- Je pense qu'il serait fort à propos de vous faire visiter les lieux. Vous n'avez eu un aperçu que par des photographies. Cela n'est qu'un maigre substitut de la réalité.

Pesu, le chien de Miles, pointa sa truffe vers le nouvel arrivant. Il restait à distance. Le juge lui jeta un regard, un simple coup d'oeil. Le chien se recoucha aussi sec dans son panier, sans un bruit.


- Je ne souviens pas vous avoir spécifié de la présence d'un animal dans ces lieux. Néanmoins, je vous assure que vous ne vous apercevrez même pas de sa présence.

Et cela était vrai. Outre l'excellent dressage dont bénéficiait l'animal, Miles attachait une importance capitale à la propreté. Pas un poil, pas une croquette, même pas d'odeur. Mis à part la bête en elle-même, rien ne permettait de se douter de son existence en ces lieux. de plus, Miles payait une adolescente du quartier qui se chargeait de s'occuper de lui pendant l'absence de son maître. Et la demoiselle s'acquittait fort bien de cette tâche.


- La Cuisine, la salle à manger et le salon, la buanderie sont communs. Les commodités aussi. En revanche, il existe deux salles d'eau indépendantes. Le dressing doit être partagé, mais il est suffisamment vaste pour éviter les confusions.


Il entreprit de lui faire faire le tour du propriétaire, allant toujours à l'essentiel, sans fioriture. Cela permettait au visiteur de prendre le temps de se faire une idée par lui-même....et à Miles d'observer. La collocation fonctionnait à double sens. S'il voulait partager cet appartement, il devait s'entendre avec l'autre personne, et vice-versa. Pour le moment, le contact ne lui déplaisait pas. Tout paraissait correct chez lui. Il y avait juste....une chose...quelque chose qui avait un peu surpris Miles au début. La première fois qu'il avait entendu son nom au téléphone, sûrement son audition devait être faussée. Au lieu de comprendre Jackson Rippner, il avait saisi Jack the Ripper. On voit parfois le mal partout...et oublier qu'il existe des personnes honnêtes.


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MessageSujet: Re: S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K]   S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K] EmptyDim 20 Juin 2010, 14:06

Jackson observa machinalement l'homme qui lui faisait face. Légèrement plus grand que lui, visiblement soucieux de son apparence - à en croire son costume vraisemblablement taillé sur mesure aussi bien que sa silhouette entretenue - et affectant une attitude où l'on aurait cherché en vain le moindre signe de relâchement, celui-ci donnait à penser. Il était jeune, pourtant - plus jeune que Jackson lui-même, peut-être de cinq ou six ans - mais du premier coup d'oeil, on lui aurait certainement donné bien plus que son âge probable. Bien qu'il fût, pour l'heure, souriant, le regard, lui, demeurait perçant et même quelque peu méfiant. Jackson songea que cet homme devait certainement avoir l'habitude de devoir percer les masques et les façades de ses contemporains. Il n'en était cependant pas plus inquiet que cela. Malheureusement, Mr Edgeworth n'aurait rien à révéler chez lui - du moins pas dans un futur immédiat.

Jackson serra fermement la main offerte, accompagnant cette poignée d'un signe de tête machinal, et pénétra dans l'appartement. De même, il se contenta d'un nouveau signe de tête à la remarque de son interlocuteur, promenant un regard aigu sur la pièce devant lui. Pour l'heure le peu qu'il voyait s'accordait à son goût. Il n'aurait pas besoin d'apporter grand chose, le reste de l'ameublement qu'il avait acheté resterait dans un garde-meuble. Ses yeux se posèrent sur un magnifique golden retriever, qui obéit sans broncher à un simple regard de son maître. Jackson eut un demi-sourire.


Cela ne me pose aucun problème. J'ai l'habitude.

Il marqua un temps, surpris. D'où cela sortait-il ? Comme un flash surgissant de Dieu seul savait quel recoin de sa mémoire endommagée, l'image d'un superbe setter irlandais s'imposa à lui, associée à l'image d'un homme. Son père peut-être. Il faudrait qu'il creusât la question.

Remettant ces questions à un moment plus opportun, Jackson entreprit se suivre Edgeworth à travers l'appartement acquiesçant de temps à autres pour indiquer qu'il écoutait. Le logement était vaste, agréable, bien éclairé. L'ameublement était fonctionnel, moderne sans être excentrique, de bon goût. L'ensemble convenait parfaitement à Jackson, qui songea qu'en temps et en heure, il demanderait la permission d'apporter à l'espace commun sa propre touche - un ou deux tableaux, peut-être une bibliothèque supplémentaire où ranger ses ouvrages... rien de trop envahissant. D'une manière générale, Jackson avait le sentiment qu'ils pourraient cohabiter sans empiéter sur l'espace de l'autre.

Rajustant machinalement le foulard qu'il sentait glisser, il laissa tomber :


Ma foi, tout me semble parfait. Le loyer me semble d'ailleurs étonnamment raisonnable au vu de la surface et des commodités... Mais je suppose, ajouta-t-il avec un demi-sourire, que les loyers californiens ne sont pas les meilleurs mètres-étalons qui soient.

Balayant de nouveau les lieux du regard, il ajouta :

Je suis également surpris que vous ayez choisi de partager l'espace...
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MessageSujet: Re: S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K]   S'ouvrir aux autres. une bonne chose ? [avec J.K] EmptyMer 07 Juil 2010, 00:52

Pendant la visite de l'appartement, notre juriste ne quittait pas le potentiel locataire des yeux.Il cherchait à découvrir toute chose étrange qui puisse le rendre incompatible à une éventuelle collocation. Pour le moment, rien de probant. La poignée de main ne montrait ni force ni faiblesse. Il semblait à l'aise. Sauf....Ce regard...vers son chien Pesu. Ce fut bref. Mais cela ne pouvait lui échapper. rien ne lui échappait. Sauf peut-être l'émotion qui se cachait derrière ce moment d'absence. Avait-il peur des chiens ? Etait-il allergique ?Ou alors en avait-il eu un et il l'avait perdu...Pour le moment, le mystère restait entier. En tout cas, cela allait déterminer sa prise de possession de l'appartement ou non.

Au fur et à mesure de la visite, Miles pensait que Monsieur Rippner était conquis. Il observait avec attention tout l'appartement. Avec une minutie assez impressionnante. Rares étaient les locataires qui regardaient les détails à ce point. Excepté Miles lui-même...Il y avait de bonne chance pour que tout soit bientôt signé. Sauf si Miles se trompait sur le nouveau venu.
Mais la conversation qu'il eut à la suite de la découverte de l'appartement vint confirmer son impression. Les lieux lui plaisaient, c'était évident. Miles afficha un petit sourire (aussi mince que celui de Rippner).


- Le loyer de cette résidence est assez raisonnable. C'est très agréable ici. Le voisinage est paisible. Il est difficile de trouver mieux. Après...c'est à vous de voir, cela n'est peut être pas à votre gout. Concernant ma volonté d'ouvrir cet appartement à la location...à vrai dire, je ne sais pas trop pourquoi j'ai pris cette décision. Je n'ai pas envie de vous raconter ma vie. Je doute que vous ayiez envie de l'entendre de votre côté, car ce n'est pas le but de cette entrevue. Mais sachez juste que j'espère pouvoir m'ouvrir aux autres. D'ailleurs, je n'ai pas besoin de l'ensemble de ces lieux, et je trouvais assez dommage de gaspiller de l'espace libre.
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