I'm a Consultant Detective. The only one in the world. SH

Votre arrivée au 109

Fiche de présentation

Identité

Nom : Holmes. Prénom(s) : Sherlock. Elémentaire. Surnoms (facultatif) : "Le taré", "le psychopathe". "Casquette-man" ou "le phénomène du net" par les médias. "le puceau" par son meilleur adversaire. Ou "Mr. Holmes" tout simplement. Date de naissance et âge : 06.01.79. Sexe : Masculin. Profession : Détective consultant. Il est le seul au monde, créateur même du terme. Il aide la police lorsqu'elle est en difficulté - oui, il la côtoie souvent - et n'accepte de ses clients que les affaires qui l'intéressent. Ou plutôt qui ne l'ennuient pas trop.

Physique

Description physique de votre personnage :
Sherlock est grand. Très grand. Mais "un manteau bien coupé et un ami de petite taille" lui donnent l'impression d'être encore plus grand et de surpasser tout le monde. Il ne parait pas si imposant pour autant, sa morphologie le fait passer pour frêle mais il a plus de poigne qu'il ne le laisse croire. Son visage est émacié, ses traits durs et ses paumettes "coupantes comme des lames de rasoir". Sa peau est pale, presque blafarde même, conséquence d'une hérédité d'origine irlandaise et de longs mois passés enfermé au 221b, Baker Street lorsqu'il n'est pas sur une affaire. Ses boucles noires sont assez négligées, souvent ébouriffées. Il ne perd pas son temps à se coiffer, s'habiller ou autre, estimant avoir mieux à faire que de perdre des heures devant un miroir à fixer son propre reflet. Ses yeux bleu glacé lui donnent un regard perçant et analytique, comme s'il sondait tout et tout le monde. Vous savez quoi ? C'est le cas.
Passons aux vêtements. Si l'on met à part les nombreux déguisements dont il se sert pour ses enquêtes - qui prennent la moitié de son armoire - Mr. Holmes fait dans le simple mais raffiné. Une chemise cintrée blanche, noire, violette, qu'importe, avec un tailleur noir. Par dessus, un long manteau anthracite dont il relève le col, des gants de cuir noir et une écharpe bleue rapidement nouée autour du cou. Sinon, les draps blancs de son lit font parfaitement l'affaire.

Titre de la fiction dont est tiré votre personnage : Sherlock
Auteur : Mark Gatiss & Steven Moffat, inspiré de l'oeuvre de Conan Doyle.
Année : 2009 - ...
Avatar : Benedict Cumberbatch

Caractère

Qualités :

"Génie, n.m du latin genius. : Aptitude, faculté supérieures de l'esprit portées au-delà du niveau commun (se manifestant dans des entreprises, des inventions, des créations jugées exceptionnelles ou extraordinaires)."

Sherlock est intelligent, il est brillant. Il a développé son intellect d'une façon remarquable qui surprend plus d'une personne. Là où les autres voient, lui observe, analyse et déduit. Il fait attention au moindre détail, ne retient que l'essentiel, supprime le superflu et l'inutile de sa mémoire. Un véritable esprit scientifique, un "savant". Il est réfléchi, n'agit jamais à la légère mais par déduction. Toutes ses qualités sont mises au service de son travail dans lequel il se révèle très méthodique, fait passer le reste au second plan dans le meilleur des cas, sinon ne s'en préoccupe même pas. Vous l'aurez compris, il a peu d'amis. Il se montre en revanche loyal envers ceux qui se démarquent des autres esprits inférieurs, quelle que soit leur façon d'attirer son attention. Il est d'un naturel plutôt calme, reste maitre de soi malgré des circonstances parfois délicates. Mais tel un enfant, le moindre cas qui suscite son intérêt l'enthousiasme facilement, trop facilement peut-être ? Quoi de mieux qu'un meurtre inexpliqué pour le mettre de bonne humeur ?

Défauts :

"Sociopathe, n.n du grec socio pathos. : Trouble de la personnalité souvent caractérisé par une tendance générale à l'indifférence vis-à-vis des normes sociales et aux codes culturels ainsi qu'aux émotions et aux droits des autres, et par un comportement impulsif."

Le détective est antisocial. Il se fiche des gens, ne voit aucun intérêt en une grande majorité d'entre eux. Ils ne sont pour lui qu'un moyen d'expérimenter ses théories, des cobayes qu'il manipule pour parvenir à ses fins égoïstes. Il méprise l'espèce humaine qu'il juge être stupide et n'en cache pas son sarcasme. Pourtant, il reconnait qu'il puisse y avoir des exceptions, des esprits supérieurs qui viennent un peu ré-équilibrer cette balance. Les plus grands cerveaux criminels, par exemple. Ceux qui brillent par leur créativité. Mais avant tout lui-même. Il s'estime supérieur à n'importe qui, inégalable et n'hésite pas à le rappeler à son entourage. Son arrogance évidente lui a attiré plus d'un ennemi et plus d'un surnom, c'est vrai. Rares sont ceux qui parviennent
à la supporter. On pourrait même dire que ce piédestal sur lequel il se place influe sur sa façon d'être ; il a un comportement de "diva". Il est hautain et capricieux. Il veut tout, tout de suite et comme il l'entend. Il n'en fait qu'à sa tête, tout simplement. Curieux mélange d'optimisme dans son travail et de pessimisme dans tout le reste, Sherlock est lunatique, impossible à prévoir et impatient au plus haut point.

Goûts : Disons que Sherlock est... différent. Il ne partage pas un intérêt pour les mêmes choses que les autres. Il a "d'autres goûts". Avant tout, il aime son travail, avec lequel il se considère marié. Il lui voue sa vie entière. Ses affaires sont les seules dans lesquelles il s'investit vraiment, les seules pour lesquelles il se passionne. C'est pour cette raison qu'il est si appliqué dans tout ce qu'il ausculte, contrairement à son aspect bordélique dans la vie de tous les jours qui ne l'intéresse pas. On dit de lui qu'il n'a pas de coeur, seulement c'est faux ; il bat pour autre chose que l'amour ou toute autre forme de sentiments. Sherlock vit pour les mystères et les énigmes, pour l'inexplicable et l'insolite. Plus la situation est alambiquée, plus il y prend son pied. Conséquence : il a développé une fascination macabre pour les crimes, les meurtres et les controverses de l'esprit humain.

Phobies : Sherlock côtoie les morts. Pourtant, la mort ne lui fait peur en rien. Son plus grand ennemi n'est autre que l'ennui. Il le redoute, le fuit comme la peste. Mais celui-ci finit toujours par le rattraper une fois une enquête résolue. Le problème, c'est que face à la lassitude, il s'isole, il est incontrôlable, il devient fou. Il ne parle pas, ne mange pas, s'énerve pour un rien. Il développe alors un aspect (auto)destructeur, et il devient une menace pour les autres mais aussi et surtout pour lui-même.

Evolution par rapport au contexte de départ : Depuis que John Watson partageait son quotidien, Sherlock avait déjà un peu changé. Non, il méprisait encore tout le monde. Non, il ne s'intéressait encore qu'aux affaires qu'il daignait accepter. Mais au moins il n'était plus seul, il avait un blogueur qui le suivait dans ses enquêtes. Il avait un ami. Arrivé au 109, il est de nouveau seul. Et une part de ses convictions est remise en question ; éternel sceptique, il ne croit pas au paranormal et cherche toujours la solution la plus cohérente possible. Pourtant, beaucoup d'habitants pourraient laisser croire n'importe qui que la magie existe. Mais il n'est pas n'importe qui, il n'y croit pas. De nouvelles énigmes à résoudre là où il n'en attendait pas.

Biographie

Résumé/synopsis de votre histoire de référence : Sherlock n'aime pas vraiment parler du passé et cherche encore moins à faire connaitre le sien. Il se concentre sur le présent. Enfant cadet d'un ménage insipide, son père est parti alors qu'il était encore jeune, sa mère s'occupait peu de lui. Alors la majeure partie de son éducation a été faite par son frère, Mycroft, envers qui il n'a aucune gratitude. Il n'est pas très famille, ne l'a jamais été. Des deux fils Holmes, il n'est pas celui qui a gardé des contacts avec sa mère en grandissant. Tout comme son grand frère, il a toujours vécu à l'écart des autres enfants, ne partageant ni leurs jeux ni leurs centres d'intérêt, et tous deux ont ainsi développé de fortes tendances sociopathes. Mais à la différence de Mycroft, il ne se passionnait pas non plus pour les études, sauf dans les rares matières qui l'intéressaient. Résultat : brillant en chimie, exécrable dans presque tout le reste. Il a pourtant suivi un cursus scolaire normal, et a fait de nombreuses premières années de fac sans décrocher aucun diplôme. Ayant en grandissant trouvé de l'intérêt pour le morbide et l'inexplicable, il s'est souvent rendu sur des scènes de crime, expliquant aux enquêteurs de Scotland Yard ses théories très souvent exactes et quasi-infaillibles. Il s'est alors peu à peu fait connaitre de la police - notamment du Lieutenant Lestrade - et l'aide lorsque celle-ci sèche sur une affaire. Depuis, il s'est attitré la fonction de "détective consultant".
Il s'est fixé au St Bartholomew's Hospital où il a accès aux laboratoires à sa guise pour y tester des expériences de toutes sortes, notamment sur les cadavres de la morgue. C'est d'ailleurs face à son microscope qu'il fit la connaissance de John Watson, médecin dans l'armée récemment revenu d'Afghanistan avec qui il partagera un appartement au 221b, Baker Street, et établir ses premiers liens d'amitié. Ainsi, les deux hommes sillonnent les rues de Londres lorsqu'ils se voient confiés une affaire, qui se multiplient depuis l'ouverture d'un blog tenu par John qui y relate les exploits du détective, visité par un grand nombre de Londoniens.

Entre la fin de votre histoire de référence et son arrivée au 109, qu’est-il advenu de votre personnage ? Un matin, alors que Sherlock tournait en rond dans son appartement après avoir résolu une enquête une semaine auparavant, une lettre fut apportée au 221b. Pas par le facteur, ni avec les journaux du matin. Une lettre glissée sous la porte dans le plus grand secret. Ce qui l'interpela tout d'abord, ce fut l'enveloppe : elle n'avait rien de spécial. Il ne pouvait rien en déduire, elle seule était déjà une énigme. Son contenu signalait un meurtre à une adresse dont il n'avait jamais entendu parler : le 109, rue du 7e Art. Ne prévenant personne, ni la logeuse Mrs. Hudson ni son blogueur attitré, il se mit en route pour l'adresse inconnue afin de voir de quoi il retournait, troublé de ne pouvoir baser aucune théorie.

Derrière l’avatar…

Prénom: As you want.
Âge : 18 ans
Comment avez-vous connu le forum ? Via Irene Adler, depuis près d'un an maintenant. Sherlock XXIst a simplement pris la relève d'Alice.
Qu’est-ce qui vous a attiré sur le forum ? Son ambition. Un crossover de tous genres confondus, et qui tient la route en plus.
Qu’est-ce qui vous a rebuté sur le forum ? R.A.S pour l'instant.
Mot de passe du règlement : OK by Wonka

Bienvenue au 109, cher Détective !!!!
Bonne continuation pour la suite de ta présentation ! ;)